1. Tante Aline (1)


    Datte: 22/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    Cet événement est arrivé parmi quelques autres dans mon adolescence. J’étais un garçon plutôt réservé, pas timide mais juste n’ayant pas envie d’exprimer. Nous étions cinq enfants à la maison et maman avait fort à faire pour s’occuper de nous tous, parfois une de ses amies venait passer la journée pour lui donner un coup de main, que ce soit pour la lessive ou le ménage. Cette dame du début quarantaine s’appelait Aline, elle chantonnait en permanence, c’était une petite boulotte avec toujours des vêtements trop étroits qui la boudinaient. L’été, quand il faisait chaud, c’était l’époque des grands nettoyages, on ouvrait toutes les portes et fenêtres et le ménage était fait de fond en comble. Pour être à l’aise Aline se changeait, retirant sa jupe et son chemisier, elle enfilait un tablier sur sa combinaison, je l’observais, car elle ne se cachait pas, me prenant toujours sans doute pour un enfant innocent, je l’épiais, attrapant au vol des visions de cuisses grassouillettes gainées de bas attachés par des jarretelles, ou encore des tétons pointant sous le mince tissu. C’est ainsi que j’ai remarqué ses rondeurs, petite poitrine, mais des tétines très développées, un ventre un peu rebondi, des fesses larges et pleines, des cuisses potelées, une peau d’un blanc laiteux. C’était l’époque de mes 18 ans, j’étais un garçon un peu enveloppé, pas encore vraiment adulte, peu de poils, je me caressais souvent, ayant découvert mon plaisir quelques années auparavant en touchant mon pénis ...
    ... tout dressé, sans que je ne sache pourquoi, mais ça m’avait secoué tout le corps de frissons, j’avais cependant remarqué que du liquide sortait de ma verge, je l’avais goûté et trouvé ça délicieux... Aline alimentait mes fantasmes, je me voyais lui toucher les seins, lui palper le ventre, je la voyais avancer devant moi, ses grosses fesses balançant au rythme de sa marche... Ce matin-là, Aline demanda si je pouvais venir l’aider le lendemain chez elle, maman accepta et il fut convenu de la retrouver chez elle dès huit heures. Elle était mariée avec un homme gentil et aimant, mais souvent en déplacement pour son travail et, elle n’avait jamais eu d’enfant, son affection se reportant sur nous, particulièrement sur moi. J’arrivai donc à l’heure prévue, j’avais passé mon traditionnel short en tissu sur un caleçon en coton et terminé par un t-shirt, il allait faire chaud dans tous les sens du terme. Dès l’entrée elle me donna deux baisers sonores sur les joues, prenant, comme à son habitude ma tête entre ses mains. — Viens, je vais te préparer ton petit-déjeuner. — Oui, merci... tante Aline. Depuis toujours je l’appelais de cette façon, mes sœurs aussi d’ailleurs et quand on parlait d’elle c’était toujours "tante Aline". — Assieds-toi, ton bol est prêt. Elle se plaça devant moi elle avait déjà revêtu un tablier sans manche, fermé avec des boutons et, tout en étalant le beurre et la confiture sur la tranche de pain, elle se penchait, se mouvait, me laissant voir l’échancrure de son ...
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