1. Tante Aline (1)


    Datte: 22/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... vêtement bailler, je fus surpris de constater que ses petits seins étaient libres dessous, sa peau luisait de transpiration, même à cette heure matinale et quand elle se redressait, j’apercevais nettement les pointes qui dardaient, semblant vouloir percer le tissu... — Tiens mange, prends des forces, tu en auras besoin, je te verse ton cacao. Elle se retourna vers la cuisinière où chauffait le lait, j’avais devant moi le spectacle de son derrière engoncé dans une culotte dont je distinguais nettement, à travers le tissu, les contours qui s’enfonçaient dans la chair de ses fesses... de plus, la transpiration faisait coller le tissu contre sa peau au gré de ses mouvements, me subjuguait, je grignotais à peine ma tartine... — Hé bien tu rêves ? Tu n’aimes pas ? Elle souriait, je m’empressai alors de terminer, me jetant ensuite sur mon bol pour masquer mon trouble. Le petit-déjeuner terminé, elle m’expliqua qu’il y avait des vêtements à placer dans des caisses pour les monter ensuite au grenier, tout cela à l’étage et ensuite déplacer une armoire qu’elle voulait dégager de sa chambre vers l’autre chambre pour avoir plus de place... Nous montons l’escalier, elle devant moi avec cette vision à quelques centimètres de mon visage de sa croupe dodelinant, gauche, droite... j’avais du mal à respirer et me retenais de toucher. J’ai pu constater qu’elle ne portait pas de bas... Elle commença à trier les vêtements à emballer, il y avait des jupes, des robes qu’elle disait ne plus savoir ...
    ... enfiler, qu’elle avait grossi et donc elle s’en séparait... — Dommage, je l’aimais bien celle-ci, mais je ne rentre plus dedans. — Ce n’est pas sûr, faudrait peut-être l’essayer. C’était une jolie robe d’été, toute fleurie, sans manche, maintenue avec de fines bretelles. — Bon, je vais suivre ton conseil. Elle commença à déboutonner son tablier, me tourna le dos, le fit glisser sur le lit, je vis alors son corps vêtu seulement de sa culotte qui manifestement était aussi un peu étroite, rose en coton, lui comprimant les fesses, parsemées tout comme ses cuisses de traces de cellulite. Elle tenta d’enfiler la robe par le dessous, mais les hanches ne passaient pas, elle avait beau se tortiller en tous sens, rien à faire mais moi j’avais la vision de ses fesses se balançant, se trémoussant que je n’arrivais plus à en détacher mes yeux... Elle riait. — Tu vois ce n’était pas la peine. Et devant mes yeux écarquillés : — Tu rêves encore mon chéri, tu me regardes, petit voyou... allons tourne-toi. Elle reprit son tablier qu’elle ferma, laissant néanmoins des boutons ouverts, elle disait avoir très chaud. Nous avions presque fini, il restait une grosse boîte au-dessus de l’armoire, je pris le petit escabeau qu’elle avait eu soin de monter et, une fois sur la plus haute marche, tendis les bras pour l’attraper, ce faisant je vacillai un peu, elle se précipita, les mains en avant, me soutenant par le haut des cuisses, les doigts directement sur la peau nue de la naissance de mes fesses — ...
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