1. Christine vacances et métro


    Datte: 23/11/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Retrouvé cette histoire que j'avais perdue. Bises Les vacances de Christine * Cette confession pourra paraître bien crue, voire choquante pour certains. Qu’importe. Christine m’a envoyé ce texte que j’ai retranscrit (avec quelques retouches syntaxiques, seulement). Le langage est « cru », voire vulgaire, les situations scabreuses. Ainsi va le monde lorsque l’on fréquente les dessous obscènes qui le composent. * Comme convenu je ne devais rejoindre Christine près d’Antibes que dans deux semaines où elle passait seule des vacances et où je devais la rejoindre. Je savais qu’elle ne se priverait de rien et qu’elle mettrait à profit sa liberté pour « s’amuser ». Je reçois au bout d’une semaine ce mail : « Mon chéri, Pardonne-moi de ne t’avoir pas écrit plus tôt, mais j’ai été prise toute la semaine. Les vacances sont parfois fatigantes mais on peut les rendre très excitantes ! Les deux premiers jours furent consacrés au repos et à me faire dorer sur la plage, tu verras combien le soleil sait me caresser. Par contre j’ai passé les jours et nuits suivantes de façon très remplies. Je rentre ce matin vers 6 heures. Je suis fatiguée et je t’écris après quelques heures de sommeil. Je vais me recoucher et rêver dès que j’aurai terminé ma confession. Ne sois pas choqué, mon chéri. Tu me connais. * Mercredi, me rendant à la plage, sur le petit lieu que j’avais élu, près d’un rocher, assez à l’écart, me déshabillant, je me suis rendue compte que j’avais oublié mon maillot. Je n’avais pas ...
    ... envie de rentrer au studio. Ce n’était pas une plage de nudiste. Je portais sous ma mini en skaï rouge que tu aimes une petite culotte en coton blanc, (tu sais, celle genre « petit bateau » que j’avais rectifiée afin qu’elle soit plus ouverte). Je défais ma jupe, retire le haut et m’allonge ainsi en culotte sur ma serviette. Le soleil me chauffe, partout. Délicieuses sensations. Je pense à toi, à moitié endormie. Je vais me baigner, sans prêter attention aux regards qui, intrigués, me dévorent littéralement. Je nage plus d’une heure, l’eau est très douce. Je me dépêche de rentrer pour me faire sécher. Surprise, mon petit lieu que je croyais à l’écart est envahi par des hommes (mais aussi des couples) qui n’étaient pas là pour rien… Je m’allonge, serviette sur le visage et je me mets à rêver. Je rentre me reposer. Je change ma jupe. Et sors. Terrasse d’un café, une vodka orange. Des regards complices. Un homme vient me demander s’il peut s’asseoir à ma table. Oui, bien entendu, j’accepte. Un bel homme (Michel), courtois, viril (45 ans environ). Nous parlons. Il m’invite au restaurant (champagne, bonne bouffe…). Nos conversations virent rapidement sur le cul, pour le dire vulgairement. Nous en venons, boisson aidant ( ?) à nous dire des « cochoncetés », des mots crus, il adore ça. Je vais te dire les mots qui m’ont le plus affolée : putain, pisseuse, salope (c’est banal), baiseuse, suceuse et… poufiasse (c’est le mot qui m’a le plus retenue). Je suis donc une « poufiasse ». Nous ...
«123»