1. Christine vacances et métro


    Datte: 23/11/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... sommes ensuite montés au studio. Nous nous sommes embrassés et tripotés. Sa main n’a pas tardé à passer sous ma jupe. « J’avais bien raison de te traiter de pisseuse », me dit-il constatant l’état de ma petite culotte. Je lui dégrafe la braguette et sors son membre tendu et dur comme une barre de fer. Je lui enfile un préservatif, me tourne et lui offre mon derrière. Il me baise comme un forcené enfonçant un doigt par-dessus ma culotte dans mon petit trou (ce que tu aimes me faire et que j’aime que l’on me fasse). Je lui dis avant qu’il parte que j’avais envie de sortir et de me trouver un type. Il me dit de rester tranquille, de me reposer. Je suis sage. Je prends un bon bain et dors comme un loir. * Le lendemain, je retourne à la plage, un autre endroit. Très sage. Je fais la rencontre de Virginie, une jeune personne qui te plairait, sensuelle, grande, blonde, assez bien en chair… Nous faisons connaissance, elle m’invite à une soirée qu’elle organise avec son ami samedi. C’était hier. * Je vais te raconter par le menu ce qui s’est passé. Je suis fatiguée mais très excitée à l’idée de te faire le récit de mes aventures. Je suis restée à la maison, seule, reposée. J’ai appelé Michel à venir me rejoindre. Je me suis habillée « très pute » (mini en cuir évasée, bottines, tee-shirt moulant, ventre dénudé…) Des bisous, des caresses, rien de plus malgré nos envies. Nous nous rendons chez Virginie vers 21 h. Une bouteille de vodka. Virginie nous a accueillis, surprise que je ...
    ... vienne avec un homme. Déjà quelques convives, de toutes sortes : jeunes, vieux, dévergondés ou réservés. Virginie me présenté son ami (Gérard) – en fait elle voulait que je le rencontre parce qu’il m’avait remarquée et appréciée sur la plage. Un bel homme ! Nous n’avons pas tardé à faire « connaissance ». Nous nous sommes embrassés, un peu caressés… Puis nous sommes allés nous isoler dans une petite pièce. Je lui ai offert mon cul (pardonne-moi la crudité de l’expression), il m’a baisée. Il s’est brusquement interrompu et j’ai senti le jet chaud de sa semence inonder mes fesses tendues. (J’aurai préféré qu’il jouisse dans ma bouche !). Je lui ai demandé de me lécher. Ce qu’il a fait avec soin, n’oubliant aucun replis de mon intimité. * Ensuite, mon chéri ? Tu veux savoir, j’imagine… Je suis retournée dans la salle de séjour. J’ai discuté, regardé. Un type m’a accroché. Il était quasi nu : un petit slip en cuir avec une fermeture éclair sur le devant. Un tee-shirt blanc, bien moulant, de très belles fesses. Des bottines. Je craque, comme tu peux l’imaginer. Nous nous rendons dans la salle de bains. On se touche. Je lui ouvre le slip, sors le sexe ! Ah quelle queue ! Il me baise. On ne se dit rien. On n’avait rien à se dire, juste à jouir. J’ai joui comme une salope. Lui aussi. * Ensuite et enfin, je n’en peux plus de te raconter, il le faut toutefois. Il est tard déjà. Je me suis reposée sur le canapé, un peu assoupie, rêvant. Je sens une main sur mon genou. Il s’agit celle de ...