1. L'escalier d'Escher


    Datte: 25/11/2020, Catégories: ff, fépilée, plage, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral mélo, consoler,

    ... l’impression de rejouer la mauvaise scène avec Chloé, mais c’est si rigolo et si facile d’être de ce côté de la table de ping-pong ! — Tu prends tout ou tu laisses tout. Bon, OK, je t’autorise à choisir entre un et quatre de mes vœux. Avec au moins « me dire quand je déconne ». Et les bras, aussi, c’est bien les bras ; t’es très douée avec tes bras. Moins qu’avec tes doigts, ceci dit. Et j’aimerais beaucoup vivre avec toi, aussi. Pour toujours : ça serait un bon début. Mais je veux pas te mettre la pression.— Donc je…— Oui, et si possible, on se dépêche : j’ai réservé à 21 heures.— Bon. Puisque je vois que j’ai le choix, je vais commencer tout de suite par te dire que tu déconnes.— Ça, je sais. Mais encore ?— Après un « petit deux », c’est « petit trois », pas « petit c ».— Je te l’accorde. Autre chose ?— Oui, Claire, mon amour… mon adorée… ma belle… ma douce… Val ponctue chacun de ses mots doux par un bisou : la bouche, les seins, le ventre, le sexe. Elle s’installe alors entre mes jambes ; la couverture la recouvre, mais ne m’arrive plus que jusqu’à mi-cuisses. Ses bras sont sur mes cuisses ; elle pose son menton sur ses mains croisées, appuyées sur mon pubis. Elle peut ainsi me regarder, droit dans les yeux, en louchant quand même un peu sur mes seins. — Avant d’accéder à tes autres demandes, je voudrais d’abord que tu me rassures.— Bien sûr, ma Valérie. Qu’est-ce que je peux faire ?— Est-ce que tu te souviens de ce qu’il t’est arrivé pendant ton « absence », après que je ...
    ... t’ai demandé de vivre avec moi ?— Oui. Et avant que tu me le demandes, je veux bien te le dire. Val hoche gravement la tête. L’effet sur l’œuf vibrant qui repose toujours dans mon vagin est intéressant. Je lui raconte tout, du moment où j’ai cru qu’elle appelait à l’aide à sa présence contre moi – sans doute à l’hôpital – en passant par la baignoire et l’avalanche, sans oublier le conseil de Chloé. — D’aaaacccord. Bon, j’ai toujours pas fait psy, mais ça me fait penser à une catharsis, ton truc.— Moui… pourquoi pas.— Je ne reviendrai pas sur l’avalanche. Et effectivement, il y a des éléments qui datent de Noël dernier. Quand j’ai appelé les secours, et quand je me suis collée tout contre toi. C’était pas à l’hôpital : c’était dans ta salle de bains. Comme je te l’ai écrit. Il y a quelque chose qui me semble ne pas coller, mais j’arrive pas à mettre le doigt dessus. Il faut dire que j’en ai dix, pas à moi, qui commencent à danser la salsa sur mon sexe. — Bon, je prends tes petits 1 à 3, ou c, comme tu veux. Sans hésiter et avec bonheur. Par contre, pour le restau, là, je suis pas chaude du tout.— Et tu me dis ça en me triturant la chatte ! Tu manques pas de culot !— Et toi, de culotte !— Ouais, facile celle-là !— Ah oui ? Et ça, c’est facile ? Val commence à me lécher la vulve avec application. Je ne crois pas pouvoir jouir, mais je profite de l’instant présent. J’ai l’impression d’avoir vidé un grand coup ma tête. Jeté aux orties tout le noir. Il reste du gris, bien sûr. Mais ...
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