Week-end en montagne - Histoires de Sexe

Week-end en montagne

... devant elle, car elle se tortille beaucoup. Ma main droite tient son sein, la gauche caresse son entre jambe par-dessus la combinaison. Malgré le tissus, je sens bien la fente et le mont de Vénus. Je pose ma main bien à plat pour en flatter toute la surface ou bien d’un doigt je longe la fente cachée. — " Oh! oui…, c’est bonnnnn…, vous jouez avec mes coins secrets. Ahhhhh! Non … C’est troooooooop… Hummmm ! Non… ! Arrêtez… ou je vais jouir." Puis,— " Non arrêtez ! si quelqu’un n’est pas loin il va me voir ou m’entendre, je ne tiens pas à ça."— " Ecoute, on a vu un lit à l’intérieur, on rentre tout : table, banc et skis, on s’enferme, tu ne crains rien avec nous deux"— " Vous m’avez mis dans un tel état de tension que je ne peux refuser. Je suis incapable de skier avec une telle boule en moi, je ne me reconnais pas, c’est dingue. Il va falloir que je passe devant un psy."— " En attendant de t’allonger sur le divan d’un de ces charlatans, grimpe dans la grange !" Aussitôt dit, aussitôt fait, tout est rangé, dehors la porte cadenassée, nul ne peux voir que nous sommes là-haut. Claire a laissé ses chaussure en bas de l’échelle, nous en faisons autant. Jérôme monte le premier et dit : — " Où as-tu trouvé ça ?" Quand je passe la tête à hauteur du lit, je l’a vois allongée sur une couverture pas trop défraîchie. " Dans le petit meuble là, en montant, j’ai vu une porte, je l’ai entrebâillée et j’ai aperçu cette couverture dans un plastique transparent j’ai pensé que ce serais mieux ...

... que sur ce lit poussiéreux." — " Il pense à tout ce proprio. Il faudra l’en remercier, je ne vois pas comment " dis-je en raillant.— " Hé ! Ne pensez pas me laisser ici pour qu’il me culbute. Un : je ne sais à quoi il ressemble, deux: il peut venir à la saint Glinglin et trois : je ne fais pas des galipettes avec un monsieur que je ne connais pas."— " Mais non, c’est pour rire, on aime trop ton corps et les caresses que tu nous fais. Trèves de bavardages passons aux actes, fait Jérôme. Nous nous allongeons sur la couverture et entreprenons de rallumer le feu en elle. Son tee-shirt est remonté au maximum, ses seins caressés, léchés, mordillés, sucés. Ma main descend la fermeture éclaire puis s’insinue dans la combinaison sous la culotte jusqu’à son nid délicat. Sa chatte est toute mouillée preuve que le feu en toujours en elle. Les premiers gémissements sont audibles suivis de râles de plus en plus forts, sa poitrine se gonfle à la recherche de nos baisers sur ses seins. Je m’active avec mes doigts dans sa grotte secrète, je dirais plus un volcan tant, elle est chaude. Je sens bouger tout son corps, elle enlève sa combinaison.. — " Mettez-vous nus, aussi tout en continuant les caresses, vos fermetures éclaires sont froides et m’agressent la peau. Jérôme vas-y puis sera Hervé parce qu’il a la main trop bien au fond de moi." Une fois nu, il se colle contre Claire, sa main remplaçant la mienne. Tel un fou je me désape et je les rejoins. Ma bouche cherche la sienne et nous nous ...