Week-end en montagne - Histoires de Sexe

Week-end en montagne

... embrassons à perdre haleine. Notre ami doit être sur un point très sensible ou elle arrive à un point crucial car elle interrompt notre baiser pour s’arquer de tout son corps, elle cherche sa respiration, ses doigts enserrent la couverture. — " Oui… là encore, tourne, vite…. plus vite…. ne me lâche pas… continue…. là.. là … oh! ouiiiiiiiiiiiiii ça y est… je, je, je partttttttttt… ahhhhhhhhhhh puis un cri (que je n’arrive pas à transcrire). Son corps est pris d’agitations incontrôlées et incontrôlables, c’est beau et angoissant. Elle jouie. Enfin elle se calme, elle se force à respirer de plus en plus lentement, son souffle est plus profond, son corps se détend enfin elle sourit mais ses yeux sont noyés de larmes que nous séchons par petits coup de langues. — " Eh bien, quand tu t’abandonne, tu ne fais pas semblant, tu me fais peur des fois, c’est dingue !" dit Jérôme— " En ce moment, est-ce la tension qui monte tout au long de la journée, ou le fait d’être caressé par plusieurs mains ; deux c’est déjà infiniment bon, quatre j’ai l’impression de rien pouvoir contrôler ou bien le fait d’avoir mis le feu en moi puis de laisser couver et de le relancer un bon moment après ou c’est alors la chute de mes derniers principes, j’avoue ne pas me reconnaître moi-même. J’espère ne pas vous avoir fait peur, retenez-moi auparavant, si cela vous inquiète."— " Puis-je récupérer ma main , fait Jérôme je te signale que je suis toujours en toi."— " Oh, excuse-moi" Nous lui faisons de ...

... grosses bises mêlées de gros baisers où nous laissons passer tout notre bonheur de lui donner du plaisir. — " Bon qu’aimeriez vous que vous fasses ?— " Ecoute, je ne sais pas dans quel état de fraîcheur physique tu te trouve mais il est quinze heures et on a deux bonnes heures de descente devant nous. On n’habite pas ici. Je propose qu’on en reste là, si Jérôme est ok bien sûr. Nous pourrions descendre directement vers la gare du train à crémaillère qui nous remontera non loin du chalet. Nous risquons de terminer à la frontale. Pour le reste nous avons toute la nuit et demain, je pense que tu demanderas grâce avant dimanche soir."— " Ok, fait Jérôme, il vaut mieux jouer la carte sécurité."— " Bon, puisque vous vous dégonflez, je vous réserve des surprises ce soir. À bon entendeur, salut !"— " D’accord, rendez-vous est pris." On se rhabille de pied en cap, nous mettons pull et bonnet. Nous rangeons tout comme nous l’avons trouvé, fermons à clef, chaussons les skis et Aï d’y ! On se lance dans le sentier, le soleil est un peu bas, la neige gèle un peu et nous glissons bien mieux. Nous attrapons la grande piste qui nous amène au village de G… De là, on attrape la crémaillère du soir, nous sommes seul dans le compartiment, Claire se love entre nous deux, un bisous à chacun. — " Savez-vous ce que j’ai écris sur le cahier de la grange."— " Non !"— " Ce jour, je ne suis donné à deux hommes qui m’ont donné le grand bonheur physique et j’ai signé : une femme heureuse." A la station ...