Un parfum.... d'autrefois (9)
Datte: 19/10/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
Inceste / Tabou
profélève,
Masturbation
intermast,
entreseins,
Oral
69,
fgode,
fdanus,
jeu,
init,
... Mais attention, hein ! Si tu dis un mot de ceci, je préviens la directrice, compris ? Je retournai près de Valentine et je trouvai un prétexte quelconque. Pendant cet intermède, je pensais à ce que nous allions faire. Passablement excitée par la situation, je revins près de la vieille fille. Elle s’était entièrement déshabillée pendant mon absence. Elle ferma la porte à clé et me débarrassa de ma robe de chambre. Elle contempla longuement mon corps nu, détaillant les courbes et les endroits intimes. Le contraste entre nous était frappant. J’étais déjà bien formée, ma poitrine était orgueilleuse et pleine, mes hanches en amphore et mon cul bien rebondi. Elle, par contre, était du genre garçon manqué. Ses fesses étaient petites et musclées, ses épaules plutôt carrées et ses petits seins étaient agrémentés d’aréoles fort brunes, avec de petits tétons. Difficile de lui donner un âge. Quarante ans peut-être ? Je n’ai jamais su. Sans un mot, elle m’attira sur le lit. Elle se mit sur le dos, écarta largement les cuisses et me fit comprendre que je devais me mettre sur elle dans la position du 69. Je m’exécutai. Son clitoris était long et raide. Une vraie petite bite ! Je m’en emparai et me mis à le sucer et à l’agacer férocement avec la pointe de ma langue. Elle, de son côté, s’occupait de ma chatte. Elle était très experte, et la langue qui fouillait ma vulve m’arrachait des gémissements de plaisir. Notre 69 dura longtemps et nous avons joui plusieurs fois avec intensité. Mais ...
... après une heure de jeux érotiques, nous avons dû nous séparer. Par la suite, nous nous sommes retrouvées assez régulièrement. Puis un jour Mademoiselle Hortense me dit : — Je vais te dépuceler, Denise. Il vaut mieux que ce soit moi qui te le fasse, car les hommes ne savent pas faire ça correctement. J’ai là un godemiché, et c’est moi qui vais prendre ta virginité. Ça m’excite de te déflorer ! Ensuite, toi aussi tu pourras me posséder. Je ne répondis rien, car avec elle je n’osais jamais protester. Pourtant j’avais des sentiments mitigés sur le sujet. D’un côté, je m’imaginais que j’allais enfin connaître les joies que procure la pénétration par un sexe masculin. Bien sûr il serait factice, mais je ne savais pas s’il y avait une grande différence. De l’autre, j’étais un peu chagrinée, toujours à cause de ma promesse et à cette volonté de me faire dépuceler par Rodolphe dont j’étais toujours amoureuse. Mais, comme je l’ai dit, je n’osais jamais discuter les ordres de Mademoiselle Hortense. D’ailleurs, avant que j’aie pu réfléchir complètement à la situation, elle avait sorti l’engin. Il était long, gros et tout noir. C’était la reproduction parfaite d’un sexe d’homme. Ça ressemblait aux trucs que j’avais vus entre les cuisses des camarades de mon immeuble. Sauf qu’il était nettement plus gros et plus long, tout noir, et bien dur. J’avais un peu peur de recevoir ça dans ma petite chatte, mais Mademoiselle Hortense me rassura. L’engin était pourvu de lanières de cuir, et je la vis ...