Un parfum.... d'autrefois (9)
Datte: 19/10/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
Inceste / Tabou
profélève,
Masturbation
intermast,
entreseins,
Oral
69,
fgode,
fdanus,
jeu,
init,
Deux heures plus tard, Vincent, à demi-allongé sur le lit écoutait sa charmante logeuse qui, assise dans un fauteuil près du lit, racontait ses souvenirs de jeunesse. — Voilà! Tu sais que je suis née près de Bruxelles. J’y ai passé toute mon enfance, et mon adolescence. Lorsque j’avais dans les cinq ou six ans, je fus entraînée par des cousins et cousines un peu plus âgés que moi à participer à des petits jeux coquins entre garçons et filles. C’était tout simplement ce que les grands appellent communément du «touche-pipi». J’y avais rapidement pris goût. Et si j’étais la plus petite, j’étais souvent la première à proposer de jouer au docteur ou à tout autre jeu qui nous amenait à ôter nos culottes et à nous tripoter. Mais à cet âge, les jeux ne peuvent pas être très variés et certains, lorsque leur curiosité avait été satisfaite, se lassèrent. Petit à petit, une sélection s’opéra donc dans mes complices de jeux coquins, et je finis par avoir une relation particulière avec mon cousin Rodolphe. Il avait trois ou quatre ans de plus que moi et, bien sûr, il connaissait des tas de choses que j’ignorais. Il avait observé plusieurs fois des couples de jeunes gens qui flirtaient de façon plus ou moins poussée et tentait de les imiter avec moi. J’étais fière d’avoir des jeux « d’amour » avec lui. On s’embrassait sur la bouche, on se mettait la main dans la culotte. Il caressait ma petite fente et j’avais plaisir à prendre en main sa « quéquette » qui, à chaque fois devenait un peu ...
... dure et se dressait à l’horizontale, ce qui me ravissait. Bref, nous imitions autant que faire se pouvait les « grands ». Je n’étais pas sortie de l’enfance quand nous nous sommes perdus de vue pour de nombreuses années. Comme il était mon idole, toute impubère que j’étais, je lui avais fait promettre que ce serait lui qui me déflorerait. Et j’étais tout à fait décidée à respecter ce pacte. Je te dirai plus tard dans quelles circonstances je pris cette résolution. Je veux d’abord te raconter mon adolescence au pensionnat. En grandissant, je guettais, comme toutes les filles je crois, les transformations de mon corps : les poils qui apparaissent, le développement de mes seins. Seraient-ils gros ou petits ? Quelle angoisse ! Et puis la puberté est venue, et la transformation s’est complétée. À ma grande satisfaction, j’héritai d’une poitrine assez opulente, ce qui changea le regard des garçons sur mon corps. J’eus bientôt de nombreuses sollicitations de leur part. Et comme j’étais toujours attirée par les jeux de sexe, mais que je voulais à tout prix garder ma virginité pour mon Rodolphe, je devins très experte en masturbations et en fellations. Je n’ignorais rien de l’anatomie intime des garçons, ni de la manière de les exciter et de les faire éjaculer. J’étais aussi experte en masturbation féminine. Pour moi-même d’abord, mais aussi pour faire jouir les autres filles. Mon expérience s’étendait à tout ce qu’on peut prodiguer comme plaisir en utilisant mes mains, mes lèvres, ma ...