1. La gestionnaire - 1


    Datte: 29/11/2020, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail Oral pénétratio,

    ... avec une pizza et un fruit. Nous débarrassons la table. Charlotte pose les couverts dans l’évier en passant par-dessus le comptoir de sa cuisine américaine. Elle se dresse sur la pointe de ses pieds et se penche en avant. Irrésistible ! Sa croupe tend le peignoir. Je ne résiste pas. Je me colle contre son dos. Ma bite est dressée au garde à vous. Surprise quelques secondes, Charlotte cambre son cul. Les mains posées sur ses hanches, je sens son désir. Ses fesses s’ouvrent. Elle jette sa tête en arrière sur le côté pour m’embrasser. Je réponds à cette invite. Mes mains relèvent la soie noire. Magnifique découverte ! Le cul est là, rond, tendu vers ma queue tenue. Il est blanc encadré par les jarretelles, les bas et le peignoir relevé. — Prends-moi comme ça ! Difficile de refuser un tel ordre… Ma bite pointe son gland à l’orée de la grotte intime. Elle est déjà ruisselante de cyprine. À peine appuyé sur l’entrée qu’il est littéralement aspiré par le sexe féminin. Je l’empale. Je la pénètre lentement jusqu’à sentir le fond de son sexe. Elle se donne encore plus. Elle se ...
    ... penche encore. Ses mains se cramponnent au guichet. Elle est à l’équerre. — Baise-moi… vas-y… bourre-moi. Je la pilonne par de grands va-et-vient lents et puissants. Soudain elle crie. Elle hurle son plaisir. Je la sens perdre toute retenue. Elle glisse. Si je n’avais pas le réflexe de passer mon bras sous son ventre, elle serait déjà affalée à quatre pattes sur le carrelage. Je la pose doucement. Je suis toujours en elle. Elle sanglote. Je sors d’elle. Je la retourne et l’embrasse tendrement au coin des lèvres. La laissant reprendre ses esprits je vais me laver. Elle arrive. Les larmes ont fait couler le maquillage. — Je suis horrible… c’était trop bon… il y avait longtemps que cela ne m’était pas arrivé de jouir autant.— Tu me flattes.— C’est vrai… il y a trop longtemps que je n’avais pas connu la petite mort… Nous nous lavons car l’heure avance et il est temps de repartir vers le travail. Sur le chemin nous échangeons nos adresses mail et nos téléphones portables. Je la laisse devant l’entrée du bâtiment où se trouve son bureau. Elle me fait promettre de l’appeler rapidement. 
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