Retour à l'improviste
Datte: 30/11/2020,
Catégories:
fh,
revede,
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hgode,
aliments,
... quelques instants par des mouvements circulaires. Le cul reste étroit et serré. Sans lubrifiant, ça ne passera jamais, même un doigt ! Seulement, la vaseline est dans un tiroir de la commode, dans la chambre, et je n’ai pas envie de laisser Elsa, apparemment bien disposée, ne serait-ce qu’une seconde. Tant pis, j’ai le choix entre de l’huile de cuisine et du beurre. J’opte pour le beurre… J’ouvre le frigo, je sors le beurre, un couteau. Je taille un petit cube et je le lui introduis dans l’anus. Au contact froid, l’anus se contracte un peu, je pousse le morceau de beurre et j’enfile mon index à la suite, en deux ou trois mouvements dans l’anus. Je le sens se relâcher un peu, les parois de l’intestin se lubrifier. Ça ressemble àUn Dernier Tango à Paris. Néanmoins, ça reste étroit. Un peu trop pour ma queue. Et depuis le temps que j’ai envie d’enculer, Elsa, qui n’a jamais été visitée par là, il est hors de question d’y aller avec brutalité, mais il est aussi hors de question que je renonce. Pas aujourd’hui ! J’y vais progressivement, une phalange, puis l’autre. Un autre morceau de beurre, j’en profite pour badigeonner le pourtour de l’anus. Je reprends avec calme, une phalange, une autre, un doigt complet… enfin ! Elsa se tient toujours les fesses et s’écarte le cul au maximum ; pour l’instant, elle est toujours partante ! J’arrive à enfoncer un deuxième doigt ; Elsa commence à grogner, ça commence à lui faire mal ! Mais elle garde la pose, jambes ouvertes, cul offert, elle ...
... cherche même à m’ouvrir davantage le passage en tirant au maximum sur ses fesses… D’une main je lui masse les parois de l’intestin, de l’autre je cherche sa chatte, si ruisselante que c’en est à peine croyable. Je la branle vigoureusement… qu’elle reste dans le même état d’excitation. Avec le beurre, mes doigts glissent sans peine, mais ma queue, ce sera une autre affaire… Tant pis, je n’en peux plus, je veux me planter maintenant dans ce conduit étroit… on verra bien ! Je reprends un morceau de beurre à pleine main, je l’écrase entre mes doigts et je m’enduis la bite, c’est froid… Heureusement que c’est du beurre sans sel, parce que sinon Elsa aurait le cul en feu… Enfin, ça ne va plus tarder ! Je retire mes doigts, je lui écarte les fesses moi-même, Elsa me tend son cul : elle est prête ! Je pointe mon gland sur l’anus qui s’est déjà rétracté, je pousse un peu, je dérape le long de la raie de son cul, évidemment. Cette fois, je prends ma queue à pleine main, juste derrière le gland, je bande comme jamais… L’anus s’entrouvre… je m’enfonce… juste le gland… j’ai l’impression d’être pris dans un étau. Elsa gémit : — Aaah ! C’est gros ! J’essaye de m’enfoncer lentement, progressivement et sans à-coups. Ça rentre avec peine… mais ça rentre ! — Défonce-moi ! Crie Elsa. Enfonce-moi ta queue dans le cul ! À fond ! Je regarde le compteur : 110 km/h ; pas mal en centre-ville ! Si je ne m’envoie pas dans le décor, je vais me faire retirer mon permis. Et j’ai pas envie de rentrer à pied ! ...