1. Jours de grève (2)


    Datte: 30/11/2020, Catégories: Gay

    ... tardivement pour être le dernier. Tous les autres sont descendus, il ferme les portes et me lance : — reste assis, je vais me mettre plus loin pour qu’on soit tranquille. Il contourne le stade attenant au lycée et se gare sur un parking non goudronné près des terrains d’entraînement de rugby. L’endroit est désert. Juste un gars qui tond la pelouse sur le terrain principal. Jeff me rejoint, il m’embrasse furtivement et m’invite à le rejoindre au fond justifiant qu’on sera plus confortable sur la banquette. Il tire les rideaux autour de nous pour nous donner un peu d’intimité. Il me prend dans ses bras, me serre fort et m’embrasse à pleine bouche. Il est doux et viril à la fois, je me laisse aller. Il s’allonge sur la banquette et m’attire à lui. On passe une longue minute à se câliner, puis il me dit : — j’ai envie de te voir nu. Je me relèves, j’ôte mon t-shirt, je défais mon pantalon, je deviens nerveux. — doucement bébé, j’ai compris que tu débutes, c’est ce qui me plaît chez toi, je vais te faire découvrir les sensations petit à petit. Il me rassure, il m’aide à enlever mes chaussures et mon jean. — reste comme ça en sous-vêtements J’ai une légère érection. Il le remarque et souris. Il se lève, déboutonne sa chemise et l’enlève. Ses gestes sont lents, il me laisse apprécier l’instant. Ouah je découvre son torse nu, il est poilu sur les épaules et le haut des bras. Il est musculeux, on voit qu’il a fait du sport jeune. Il s’est enrobé avec le temps mais tout est encore ...
    ... ferme. Il est beau. Ses tétons roses pâles sont proéminents, ils sont durs. Mon regard s’abaisse, il a un ventre naissant. Ses mains sont déjà sur son pantalon. Il rougit en l’enlevant et manque de tomber. Il rigole puis dit : — tu vois tu m’impressionnes aussi... ça va je te plais? Je le regarde de haut en bas. Il est en slip et chaussettes devant moi. Ses jambes sont poilues, ses cuisses sont musclées. — oui, t’es beau Jeff — arrête tu dis ça juste parce que je t’ai fait jouir — non Il rigole. — je te taquine mon bonhomme. Il m’attire à nouveau à lui sur la banquette. — hmm enfin je sens ton corps sur le mien... Le contact peau contre peau sur toute la longueur du corps m’électrise et me donne un frisson. Il m’étreint fortement. J’aime sa force. On s’embrasse, on se caresse. Nos sexes raides se frottent. Je passe ma main sur ses poils, du cou aux cuisses en passant par les bras. Lui s’est arrêté sur mes fesses, une dans chaque main, il accompagne mes mouvements de bassin. Il me dit : — tu m’excites, t’es vraiment un beau gaillard comme j’aime... tu es tendre... déjà viril pour ton âge... On continue nos caresses, puis il glisse ses mains sous mon shorty, plus de réaction, j’en avais envie. Du coup il fait glisser mon shorty jusqu’à mes genoux. Pendant que je finis de l’enlever il baisse son slip et me dévoile son sexe en érection : — voilà dans quel état tu m’a laissé... Il sourit, je ne peux détacher mon regard de sa bite. Je suis émerveillé. J’en ai déjà vu lors d’escapades ...
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