1. Les casseroles


    Datte: 20/10/2017, Catégories: fh, fplusag, vengeance, Oral fdanus, humour, policier, aventure,

    ... intéressé mon employeur et son client en cette affaire. L’important était, pour l’opposant politique qui s’était offert les services du cabinet d’enquêtes privées Adam Borowitz, de coller quelques casseroles au cul du ministre Goulard. Et des informations de première main sur une histoire de mœurs, c’est toujours bon à prendre. Lucette Goulard accusait un joyeux paquet d’heures de vol, mais ça ne l’empêchait pas de présenter de beaux restes. À son haleine et à la coloration de ses joues, je n’eus aucune peine à comprendre qu’elle avait tendance à picoler, sans doute pour échapper à l’ennui dans lequel la laissait un mari plutôt volage. Après le départ des domestiques, elle avait dû céder à son penchant pour les spiritueux. — En ce moment, il doit être à une réunion de parti, reprit Lucette. Mais allez savoir s’il y est !— Vous êtes une femme délaissée, madame Goulard, affirmai-je avec chaleur.— Appelez-moi Lucette.— Je peux ?— Je vous appelle bien Ludwig.— Vous êtes une femme délaissée, Lucette. Injustement délaissée. Elle sourit et baissa un peu la tête pour me jeter un regard par-dessous. — Vous croyez ?— Scandaleusement délaissée.— Je vous offre un verre, Ludwig ?— Avec plaisir.— Que buvez-vous ?— Comme vous. Elle saisit l’allusion, mais ne la commenta pas. Elle me tendit bientôt un ballon de cognac et remplit le sien. — Au succès de votre enquête, Ludwig ?— Oui, Lucette. Et au vôtre.— Au mien ?— Au succès que vous méritez ! annonçai-je en la déshabillant du regard. Elle ...
    ... n’était certainement pas dupe de ma flatterie, mais elle fit comme si elle y croyait. Quelques instants plus tard, nous posions nos verres et elle tombait dans mes bras. Je lui avais apporté la confirmation de ce qu’elle soupçonnait ; son honneur bafoué réclamait une vengeance dont il ne me déplaisait pas de devenir l’instrument. Le salon était vaste, confortable, bien équipé en éclairages tamisés aux tons assez chauds pour mettre l’épiderme en valeur sans en souligner les défauts. La bouche de Lucette dégageait un arôme de cognac et sa peau un reste de parfum de savon-douche. Lorsque sa robe d’intérieur tomba sur la moquette et que je lui dégrafai le soutien-gorge pour, me tenant derrière elle, soupeser à pleines mains son opulente poitrine, elle poussa un soupir d’aise et se laissa aller contre moi. J’avais les lèvres dans son cou et mes doigts commencèrent à courir partout sur son corps, palpant son ventre rond et ses fesses charnues. La soulevant, je l’assis dans un fauteuil et m’agenouillai entre ses jambes. Des deux mains je lui pétrissais les mamelles tandis que mon nez plongeait dans son entrecuisse à l’odeur forte, épicée. Je ne connaissais rien des talents de Marcel Goulard en la matière, mais il m’apparut clairement qu’il devait se montrer négligent depuis un bon moment. Lucette en voulait. Elle semblait en manque. Pendant que je m’appliquais de la bouche et de la langue, fouillant ses chairs rosées et lui aspirant le clito, elle criait sans retenue son plaisir de ...
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