Mireille, ma petite belle-soeur
Datte: 03/12/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
alliance,
hotel,
voyage,
noculotte,
intermast,
Oral
pénétratio,
Mes beaux-parents étant des « snowbirds » (gens qui migrent vers le sud pour y passer l’hiver) de longue date, mon ex-épouse, Johanne et moi avions l’habitude de les y rejoindre pour une semaine de repos, sous le soleil de la Floride, conduisant ainsi leur véhicule vers leur résidence d’hiver. Ce périple nous permettait de quitter le train-train quotidien et de s’éloigner de notre bel hiver québécois pour quelques jours. Habituellement trois jours nous suffisaient à les y rejoindre mais en cette année du 70e anniversaire de ma belle-mère, nous devions mettre les bouchées doubles et les y retrouver pour le dîner d’anniversaire du surlendemain. Cela ne serait qu’une petite balade de plus de 2 600km en deux jours, un petit rien en soi, comme le disait si bien ma belle-mère, qui elle, se le faisait en avion. Faut-il comprendre que l’âge a ses avantages. N’en est-il que cette dernière n’avait pas fait la distance depuis les 20 dernières années et disons que sa mémoire, en terme de distance à conduire, n’était pas vraiment à jour. J’étais alors marié avec une charmante et délicieuse femme au corps délicat, petite taille et petite poitrine dont les mamelons noirs pointaient longuement à travers l’étoffe de son pull lorsqu’ils étaient excités. Ma douce moitié ne conduisant pas alors je demandai à ma jeune belle-sœur, Mireille, seule depuis quelque temps, n’ayant pas réussi à faire entrer dans les rangs un amoureux trop volage à son goût, de nous accompagner, histoire de faire la ...
... conversation tout au long du trajet. Il faut ajouter que je me plaisais bien à la surnommer… Ma petite belle sœur… Après s’être fait un peu prier, cette dernière accepta mais à la condition que nous prenions deux chambres pour la nuit en route. En farce, je lui dis de ne pas s’inquiéter, que j’étais satisfaisait des services de sa sœur et que je n’avais certainement pas l’intention de me partager entre les membres de la famille. Elle rougît un peu et baissa les yeux. Partis de bon matin, nous roulions depuis près de 16 heures, se relayant de la même façon dont un distingue un cheval d’un poulet, soit : 4 heures de route pour moi et pas plus d’une trentaine de minutes pour elle. Un peu au sud de Charlotte NC, le sommeil se mit de la partie. Après seulement 30 minutes de mon quart de conduite, je ne tenais plus la route, Johanne et Mireille dormant profondément. J’ai alors décidé de prendre la prochaine sortie pour voir ce qu’on pouvait y trouver de convenable pour passer la nuit. À l’arrêt du moteur sous le porche d’un premier motel, les deux sœurs sursautèrent et me demandèrent d’une même voie la raison de notre arrêt. Leur répondant qu’il se faisait tard et qu’une bonne nuit de sommeil nous assurerait de rejoindre notre destination en fin d’après-midi le lendemain. Il me tardait de trouver un gîte pour la nuit. Toutes les deux approuvèrent de la tête. Mireille ajouta même, qu’il ne me fallait pas oublier de louer deux chambres car il n’était pas question qu’elle partage avec ...