1. Mireille, ma petite belle-soeur


    Datte: 03/12/2020, Catégories: fh, extracon, alliance, hotel, voyage, noculotte, intermast, Oral pénétratio,

    ... journée. Trois régiments n’auraient pas su m’extirper de ce sommeil profond au point que les deux petites sœurs se résignèrent à me laisser ainsi dormir au centre de cet immense lit, sans même penser à me retirer les chaussures. Il est vrai que j’avais déjà près de 17 heures de route et un peu plus de 1600 km dans le corps. Alors qu’il faisait encore nuit, les phares d’une voiture quittant la chambre voisine me tirèrent de mon sommeil. Voyant les deux petites sœurs, dormant sous les couvertures, une de chaque côté de moi, j’ai alors décidé de me déshabillé lentement, ne gardant que mon slip et de m’insérer sous les couvertures, sans faire le moindre bruit. Quelques minutes plus tard, Johanne, probablement par habitude, vint se lover contre moi, retrouvant ainsi la chaleur habituelle de ses nuits. Ainsi au chaud, j’ai passé mon bras par-dessus son épaule et j’ai posé ma main sur son ventre comme à l’habitude. M’apercevant qu’elle ne portait qu’un t-shirt en guise de chemise de nuit et aucune culotte pour garder sa toison d’or au chaud, j’y ai alors glissé la main recouvrant ainsi la douce fourrure de son pubis de mes doigts amoureux. Sans quitter son sommeil, enfin je le crois, elle entrouvrît légèrement les cuisses me permettant ainsi de poser un doigt entre ses lèvres douces et humides. En un instant, son bouton d’amour était brûlant et pleinement gonflé de plaisir. Devait-elle se croire en plein rêve coquin? Profitant alors du moment, j’ai donc décidé de poursuivre ce rêve ...
    ... et d’en faire, pour elle, une douce réalité qui l’amènerait sûrement vers les plaisirs les plus doux Le fait de masser ainsi doucement son clitoris provoqua sur mon bas ventre les picotements annonciateurs d’une érection magistrale. Dépassant de mon slip, mon pénis se trouvait dressé contre les fesses brûlantes de ma douce moitié, redoublant alors mon excitation. Tout doucement, je lui ai écarté les cuisses, trouvant ainsi le moyen de m’introduire doucement en elle. En un lent va-et-vient, qu’elle semblait aussi bien apprécier que moi, je m’abreuvais de la tendresse de son intimité. Sans trop de mouvement brusque, j’étais en voie de perdre mon âme au plus profond de ma tendre épouse. Tout à coup, j’ai senti une chaleur étrangère dans mon dos. Mireille, s’étant aperçu de ce qui se passait tout près d’elle s’était rapproché de moi. À ce que je pouvais en conclure par les mouvements perçus dans mon dos et son souffle court, elle avait déjà glissé la main vers son petit minou, histoire de partager, en solitaire, nos ébats amoureux. Après plusieurs minutes de ce manège, sentant au creux de mon dos son souffle devenir de plus en plus rapide, j’étais au comble de l’excitation. D’un côté, elle gémissait doucement et de l’autre, je glissais tout doucement entre les lèvres en feu de ma tendre épouse qui me semblait sur le point d’éclater. C’est alors que j’ai senti une petite main se glisser, par l’arrière, entre cuisses et commencer doucement un massage en souplesse de mes couilles. ...
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