1. La galerie des Glaces (1)


    Datte: 05/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... lâchent et concentrent leurs mains sur eux-mêmes. Ils se branlent les yeux grands ouverts en se regardant au tréfonds. Tous deux accélèrent ou freinent leurs mouvements en calquant leur fréquence sur celle de l’autre. Ils gémissent et suffoquent à l’unisson comme s’ils copulaient. Ils s’arrêtent, puis reprennent pour faire durer ces instants. Retarder le plus longtemps possible l’explosion finale, mais en même temps jouir déjà, sourdement de cette retenue ! L’atmosphère devient de plus en plus dense, presque irrespirable. Je redeviendrai presque jaloux, balançant entre ces deux sentiments extrêmes : érotisme ou vulgarité. Là, j’ai senti que je commençais à perdre tout contrôle. masmllcg J’ai même souhaité qu’à un instant elle en ait trop envie, qu’elle craque, qu’elle lui demande de "l’emmancher", de la "tringler", de la "piner", qu’il envahisse son ventre et qu’elle se laisse "baiser". Lui au même moment, je l’ai vraiment deviné, a failli succomber à la tentation de la prendre, de la pénétrer et voir sa chatte l’absorber, bien sentir la souplesse des lèvres de sa vulve suintante, tout en imaginant déjà, autour de son sexe la toison de cette jolie femme si bandante, comme un chaud collier de fourrure autour de la base de son membre. Il aurait pu ressentir, sur les bourrelets de son ...
    ... gland pressé, les palpitations du vagin et de sa vulve de cette femelle, manifestant son orgasme, pendant qu’il éjaculerait longtemps, longtemps au fond d’elle. Je me suis même imaginé toutes les pulsations des deux sexes, s’étreignant, s’avalant, s’aspirant longtemps l’un et l’autre. Ou sont-ce seulement des images que l’évocation de la situation me fait vivre ? Parallèlement, haletante, elle ouvre la bouche en grand, comme pour avaler tous ces jets de sperme qui ne vont pas tarder à jaillir, elle crispe la main sur son clitoris en serrant les jambes, et donnant des petits coups de ventre. Elle ferme les yeux, pour ressentir toute la force de jouissance de ce garçon en elle, au plus profond. Ma présence à certainement freiné les ardeurs des deux protagonistes, mais, dommage, Il a détourné sa verge sur le côté, s’est crispé et a joui très bruyamment, son sexe qu’il étranglait de sa main, s’est encore redressé libérant par saccades, une dizaine de jets blancs qui ont violemment jailli hors de lui, et se sont écrasés sur le bas du tabouret de cuir rouge. Hommages explosifs à ma petite femelle si excitante ! Elle nous embrasse tendrement tous les deux. Elle le câline de longues minutes, en silence. Karim, consciencieusement essuie avec un Sopalin, les zébrures nacrées sur le cuir rouge. 
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