Cette photo ne m'était pas destinée (1)
Datte: 20/10/2017,
Catégories:
Erotique,
... je sens monter son plaisir, je ralentis, m’arrête une seconde, pour la laisser au seuil de l’orgasme, avant de reprendre mes coups de bite de plus belle. Elle se retourne vers moi, les yeux brillants et la bouche en "O", pour me regarder pendant que je la baise. "Tu t’es déjà fait baiser comme ça, Athéna?" lui dis-je. "Non, jamais" soupire-t-elle d’une voix vaincue. "Tu es à qui?" Elle gémit: "A toi, je suis à toi." J’ai encore une question: "Je peux te faire tout ce que je veux?" Elle se mord la lèvre: "Tout ce que tu veux: je suis ta chienne, je suis ta chose…" Je suis content que la caméra ait enregistré cette confession. .. Fort de cette autorisation, je laisse mon pouce tourner autour de l’anus d’Athéna, puis s’enfoncer tendrement en elle. J’assouplis patiemment la cavité afin qu’elle me réserve bon accueil lorsque j’y introduirai mon pénis. La caresse provoque des râles approbateurs de la part de mon amante, que je n’arrête pas de baiser. Quand j’ai bien pénétré son petit trou avec mes doigts et que je sens qu’elle est prête, je place mon gland à l’entrée de son anus. "Oui… Par là… Vas-y…" Sous ses encouragements, j’encule Athéna. Je m’enfonce dans le tuyau étroit, je prends possession de son cul en agrippant ses fesses, d’abord lentement pour ne pas trop lui faire mal, puis je me lâche et je lui donne toute la puissance de mon bassin. "Oh c’est bon… C’est bon" crie-t-elle d’une voix cassée par le plaisir. Je saisis ...
... ses longs cheveux noirs et je claque ma main sur ses fesses tandis que son trou du cul m’avale tout entier. J’aime l’enculer, j’aime qu’elle se laisse sodomiser. Elle y prend de plus en plus de plaisir, elle souffle, elle grogne, elle crie, elle mord l’oreiller, elle frappe le matelas. Je sens qu’elle va bientôt connaître son tout premier orgasme anal. "Dans mon cul… Jouis dans mon cul…" C’est avec plaisir que j’exécute son souhait. Encore quelques coups de reins et je sens une vague de plaisir me submerger. Ça y est: j’éjacule d’épaisses giclées de sperme dans l’anus d’Athéna. Jamais je ne me suis déchargé aussi fort. La combinaison de la sodomie et de la spectaculaire transformation de mon amante donnent à mon orgasme une vigueur sans précédent. Le souffle court, mouillés de transpiration, nous nous affaissons l’un contre l’autre sur le matelas moite de notre baise. Son anus encore ouvert suinte une larme de foutre. Je l’approche pour lui prodiguer des gestes tendres mais elle ne se laisse pas faire: anrahhws "Juste une minute" soupire-t-elle. "Il faut que je réalise quel genre de femme je viens de devenir." Elle reste songeuse, le regard perdu, puis je vois naître un sourire sur son visage. A nouveau pleine de vie, elle se lève, les jambes poisseuses de sueur et de sperme, et se dirige vers l’ordinateur. Elle me regarde et rit, puis elle enregistre le fichier vidéo de nos ébats et l’envoie à celui qui est désormais son ex.