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De délicieuses vacances (partie 1)
Datte: 07/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... moi. Elle m’effleura le dos, et je bandais immédiatement. « J’en connais un autre qui est doué et sexy, souffla-t-elle en se collant à moi. » J’avais envie de me retourner tout de suite, et de la prendre sauvagement, mais je sentais qu’elle était d’humeur joueuse, et je voulais entrer dans son jeu. « Ah oui ? Qui ça ? » Elle m’enlaça par la taille, ses mains effleurant mon sexe, et d’une voix sensuelle et moqueuse, elle me glissa à l’oreille : « Hans... » Ce fut la provocation de trop. Je lâchai d’un coup mes ustensiles de cuisine, pivotai soudainement, et saisit Katherine par les hanches. Je l’embrassai comme un fou, laissant libre cours à mon désir pour elle, toujours brûlant. Elle me rendit mon baiser avec passion, collant son visage contre le mien, mais c’est moi qui donnais le ton. Je profitais de ce moment pour dévorer son magnifique visage dont je ne me lassais pas, frissonnais au contact de ses douces lèvres tout en massant son merveilleux postérieur. Puis, soudainement, je la soulevai, provoquant chez elle un éclat de rire, qui se transforma en cri d’excitation lorsque je la plaquai contre la table. Je lui embrassai le décolleté avec avidité, la faisant haleter de plaisir. Décidé à la rendre fiévreuse, je lui massai les seins avec force, lui arrachant des petits gémissements. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, et m’attira contre elle, sur la table. Elle me souffla à l’oreille « allons dans la chambre, je vais te faire des choses folles. » Elle appuya ses ...
... propos en me mordillant l’oreille. Je fus tellement excité que je vis littéralement rouge. Je la saisis, et la soulevant, je l’entraînai dans la chambre, l’embrassant comme un fou tout le long du trajet. Une fois dans la chambre, je la plaquai sur le lit, m’allongeant sur elle. C’est là qu’elle reprit le dessus. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, et me fit rouler, se juchant sur moi. Elle frotta ses merveilleuses fesses contre mon sexe, déjà à fond en érection, me faisant un bien fou. Puis, elle retira son short et son maillot ne gardant que son débardeur. Elle me retira ensuite le pantalon puis le caleçon, avant de s’empaler sur moi avec un gémissement d’extase. Elle démarra de puissants va-et-vient, allant d’avant en arrière à un rythme très élevé. Ce fut à mon tour de pousser un cri d’extase, ce qui tira à Katherine un sourire satisfait. Pendant qu’elle me chevauchait, je pus l’admirer : tout son corps était en action, ses hanches s’activaient, son ventre plat dansait, ses gros seins se balançaient, tandis que son beau visage rougissait sous l’effort et le plaisir. « Tu aimes ce que je te fais mon grand ? » Avec difficulté, je lui répondis « J’adore, tu vas me tuer ». Elle eut un sourire narquois, et ralentit le rythme, afin de pouvoir se pencher sur moi, et de m’embrasser fougueusement. Après quoi, elle se redressa, et se mit à se déhancher de gauche à droite à grande vitesse, secouant mon sexe dans toutes les directions, me faisant frémir de la tête aux pieds. « ...