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De délicieuses vacances (partie 1)
Datte: 07/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... Tu kiffes comme ça ? » me lança-t-elle, « oh oui ! Répondis je », elle enchaîna alors une série de coups de reins de gauche à droite, tout en disant « et ça ? » « et ça ? » « et ça ? » ponctuant chacun de ses « et ça ? » par un coup de reins toujours plus violent. Je criais à fond, et répondais à chaque fois « oh oui ! », ce qui ravit Katherine. Elle commençait elle aussi à se sentir de mieux en mieux, gémissant à chaque fois plus fort. Elle se remit ensuite à me baiser d’avant en arrière, plus sauvagement que jamais, me secouant dans toutes les directions. Par pur réflexe, je voulus prendre ses hanches, juste pour avoir quelque chose à quoi me raccrocher dans cet ouragan, mais Katherine pensant que je cherchai à reprendre le dessus me colla une gifle, et accéléra encore le rythme de sa baise. Bordel ! Qu’est ce que j’aimais être baisé comme ça, avoir l’impression d’être violé. Le plaisir se mit à monter irrésistiblement en moi, je sentis tout mon corps se tendre de façon insupportable. Katherine me sentant défaillir accéléra encore le rythme pour la dernière ligne droite, plantant ses griffes dans mon torse. Je partis dans un orgasme magnifique qui me donna l’impression de sortir tout ce qu’il y avait en moi dans une délicieuse sensation. Impitoyable, Katherine continua de me baiser jusqu’à ce qu’elle jouisse aussi, prolongeant au-delà de l’insupportable cette terrible jouissance. Lorsqu’elle eut son orgasme elle aussi, elle s’écroula sur le matelas, épuisée et hors ...
... d’haleine. Moi, j’étais presque évanoui. Cette première journée de vacances commençait bien. A part que le temps que je me remette de l’orgasme monstrueux de Katherine, notre dîner eut le temps de brûler. Mais bon, premier jour, et déjà un orgasme à rester au plafond, ça valait le coup de manger du surgelé ! Une fois le repas avalé, nous allâmes nous coucher. Nous étions bien trop fatigués pour remettre le couvert pendant la nuit, et nous dormîmes paisiblement… A part que notre fenêtre donnait sur le bungalow voisin, ce qui nous laissa entendre Hans et la Blonde s’envoyer en l’air. Les cris durèrent un quart d’heure vingt minutes avant de s’interrompre. Ils reprirent tard dans la nuit. A part ça, je dormis à fond, et me réveillai le lendemain en pleine forme. Dés que je m’éveillai, je notai l’absence de Katherine. Je jetai un coup d’oeil à l’heure : il était 9h du mat. Je me préparai mon petit dej, et m’installait sur la terrasse, savourant ce moment de tranquillité. Je reçus alors un SMS de Katherine : « Je suis à l’atelier gym avec nos voisins. Je reste après avec Hans… Mais t’inquiète pas, tu auras de la compagnie... » Avant que j’aie le temps de m’interroger sur ce que signifiait ce SMS, je sentis quelque chose de doux me chatouiller l’oreille. Je me retournai, et vis, penchée au dessus de moi la belle Blonde. Je restai un moment interdit : se faire surprendre par un si beau visage, ça laisse sans voix. Elle contourna la chaise, et vint devant moi, et mon air de stupéfaction ...