Le vent froid de février...
Datte: 07/12/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Cela fait quelques temps que je n’ai pas donné de nouvelles, je vais essayer de rattraper mon retard. Pour ceux qui n’ont pas suivi, je m’étais arrêté au mois de décembre ou mon amante, Françoise, avait fait de moi son esclave. Au début, je trouvais la situation plutôt excitante. Françoise m’envoyait régulièrement des photos érotiques (ou plus) auxquelles je devais répondre. Et puis elle me convoquait chez elle. J’y allais et nous passions du bon temps. Je ne rentre pas plus que cela dans les détails parce qu’il n’y a pas grand-chose à en dire. C’était finalement du sexe « banal ». Bon… Un peu plus que cela puisque Françoise était bien plus dévergondée que ma femme. Mais rien d’extraordinaire qui vaille la peine de vous le décrire ici. Le point important à retenir étant que Françoise semblait apprécier mes performances. De mon côté, je commençais à m’inquiéter un peu. L’adultère, c’est compliqué. J’avais de plus en plus de mal à m’inventer des réunions au travail. Du coup, je prenais des RTT ou des journées sans soldes pour retrouver Françoise mais cela me mettait aussi en difficulté avec ma femme. Et puis il y avait tout le stress qu’il y a autour : peur que ma femme ne consulte mon portable et ne trouve une photo compromettante, peur de la croiser dans le quartier à un moment où je ne suis pas sensé y être… Bref… Après un mois de janvier très chaud, j’ai commencé à m’éloigner de Françoise au mois de janvier, allant même jusqu’à bloquer son numéro pour ne plus recevoir ses ...
... message et prenant la décision de redevenir fidèle vers la fin du mois de février. Pendant une petite semaine, tout alla bien. Ma conscience se refaisait une vertu et je commençai à déstresser. Un soir, alors que je rentrai assez tard du travail et alors que je me déshabillais dans le vestibule, j’entendais ma femme parler et rire dans le salon. La voix qui lui répondait ne m’était que trop familière et je sentis une coulée de sueur froide dans mon dos. J’entrai dans le salon, inquiet. Pas le choix après tout. Ma femme me vit : « Bonjour chéri, bien passée la journée ? Je te présente Françoise. Tu la connais peut-être, c’est la mère de l’une des copines des filles. On a eu l’occasion de parler à l’école et je l’ai invitée à boire un café. Les filles jouent dans leur chambre. » Françoise était là, assise sur le canapé. Le même que celui sur lequel elle était assise, deux mois plus tôt, alors que je lui léchais la chatte. Elle était là et me souriait. Et me fit un clin d’œil. Je balbutiai : _ Bonjour Françoise. Je crois qu’on a dû se voir à l’école il me semble, oui. _ Oui, et à Halloween aussi, vous étiez dans la rue avec vos filles. _ Ah ! oui… C’est ça… Ma femme partit me chercher un café. Pendant ce temps-là, Françoise écarta les jambes et remonta sa robe, dévoilant sa chatte lisse, sans petite culotte. Elle murmura, ou plutôt souffla en articulant exagérément pour que je puisse lire sur ses lèvres : « tu ne me la lèches pas aujourd’hui ? » Je lui répondis de la même manière ...