Le vent froid de février...
Datte: 07/12/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... « qu’est-ce que tu fais ici ? » mais ma femme revint avant que je puisse avoir une réponse, même si je ne la devinais que trop bien. La torture dura une éternité. Nous discutions, l’air de rien. Ma femme ne se doutant de rien. Françoise profitait du moindre instant de tranquillité pour me caresser l’entre jambe, dévoiler une partie de son corps ou me tenir des propos salaces, de plus en plus accusateur et de plus en plus menaçant. Ma femme mit fin à ce moment de la façon la plus inattendue qui soit : _ Au fait chéri, Françoise a un petit souci de tuyauterie… _ Une toute petite fuite, ce n’est rien du tout… _ Comme elle est divorcée, elle n’a personne pour s’en occuper. Tu t’y connais toi, tu pourrais l’aider, non ? _ Il paraît que vous êtes un as pour tout ce qui touche aux tuyaux ! _ Euh… bien sûr. Je passerai chez vous à l’occasion. _ Pourquoi pas ce soir. Tu y vas maintenant comme ça c’est fait. Et pendant ce temps-là, je m’occupe du dîner. Et c’est ainsi que je me retrouve une boîte à outils à la main, dans la rue avec ma maîtresse et sa fille qui court devant nous. _ J’apprécie ton aide pour la tuyauterie mais j’apprécie moins que tu ne répondes pas à mes appels et que tu ne viennes plus à la maison quand je te le demande. C’est pourquoi j’ai dû venir. Tu as de la chance, j’aurais pu faire une bêtise. Gaffer et dire tant d’autres choses à ta petite femme… _ Je te l’ai dit, cette situation ne me convient plus, il faut y mettre fin. _ Allons… Qu’est-ce qui te fait ...
... croire que c’est en ton pouvoir de décider d’une telle chose ? _ Tu as réellement un problème de fuite ? _ Non, bien sûr. Arrivés chez elle, elle envoya sa fille devant la télé pendant qu’elle me montrait la « fuite » de la salle de bain. A peine la porte refermée, Françoise se déshabillait entièrement. Elle s’accroupit devant moi, ouvrit mon pantalon et sortit ma queue. Mi molle, elle était à l’image de mes pensées : excitée par la jolie femme nue devant moi mais inquiète de la tournure des événements. Françoise me suça juste assez pour me faire raidir totalement. Puis, tandis qu’elle me branlait, elle m’embrassa l’intérieur de la cuisse et, avant que je puisse réagir, y déposa un énorme suçon. « Ça, c’est pour t’apprendre à obéir ! » J’étais fou de rage et commençait à lui crier dessus, à me lamenter et à la maudire… Elle mit fin à tout ça en me tournant le dos, en écartant les jambes et en prenant appui sur le lavabo. « Baise-moi ! » Malgré toute ma colère, je bandais encore. Ne sachant que faire d’autre, je la pénétrai sans ménagement. Sa chatte était de toute manière déjà trempée. Cette salope était de toute évidence très excitée par la situation. Pour la première fois avec elle, je ne prenais aucune précaution, ne faisais pas attention à son plaisir. Je la besognais sauvagement, lui donnant de grand coup de reins et lui claquant les fesses régulièrement. J’espérais bien, à vrai dire, jouir avant elle cette fois-ci. De son côté, elle hurlait de plaisir (elle dût même ouvrir ...