En toute intimité - le baiser (1)
Datte: 21/10/2017,
Catégories:
Hétéro
... s’en voulait de m’avoir quitté. Cette situation aurait pu me réjouir, mais ce n’était pas le cas. Je n’aimais pas la voir dans cet état, à genoux sur le sol comme si elle me suppliait avec ses larmes qui coulaient. Je m’étais baissé à sa hauteur, je lui avais caressée la joue. Elle m’avait demandé de lui pardonner, je l’avais embrassée, nous nous étions embrassés. Je n’en dis pas plus à Caroline, je garde le reste pour moi. Elletrouve que c’est bien, que Pauline a de la chance, le ton n’y est pas. J’aime bien comment elle joue avec ma main. Je me sens vidé, incapable de réfléchir, cela me fait du bien, mais je me sens trop seul. Caroline pose ses lèvres sur les miennes. Je ne l’en empêche pas. Je réalise que je n’ai jamais embrassé une autre que Pauline. Le baiser de Caroline est très différent : ses lèvres sont bien plus fines, sa langue plus timide. Je ne peux m’empêcher de comparer. Je ne peux m’empêcher de me dire que je préfère les baisers de Pauline. Je me laisse aller, mon cerveau reste totalement vide. Je suis dans la chambre de Caroline. Il fait nuit, les seules lumières présentent proviennent de réverbères. Je suis sur son lit, elle devant son armoire à se changer. Elle retire son haut et son soutien-gorge pour enfiler un tee-shirt. Elle retire son bas et sa culotte. J’aperçois une petite toison blonde briller, elle enfile une culotte. Elle m’a proposé de dormir ensemble, j’ai accepté, j’ai besoin de me changer les idées. kwokrrbd Quand est-ce que je me suis ...
... déshabillé ? Je ne m’en souviens même plus. Je suis juste enslip dans son lit, et elle n’a plus de tee-shirt. Ses seins sont si petits par rapport à ceux de Pauline, ses hanches bien plus larges... Je compare encore. Tant mieux que nous soyons dans le noir à ne nous distinguer qu’à peine. J’ai envie de coucher avec elle, ça fait longtemps que je n’ai pas fait l’amour. Ma verge est dure, sort en partie de mon slip. Elle le sent forcément, même si ses doigts ne sont pas encore allés jusque là, elle est contre sa cuisse. Ma main est dans sa culotte, je la caresse... "attention, je suis encore vierge"… effectivement, je sens son hymen sous mes doigts. Je lui demande : — Tu as envie ? — Je ne sais pas. — Ça veut dire non alors. Je n’insisterai pas. — Désolée, je voudrais attendre le bon. — Ne le sois pas. — … Tu t’es remis avec Pauline. Oui, c’est vrai. Alors qu’est-ce que je fous dans ceputain de lit ? Pourquoi je n’arrête pas tout ? Je retire ma main, elle la reprend pour la replacer au chaud entre ses cuisses. Je vais doucement. Je me laisse encore entrainer, je n’ai aucune volonté, j’écoute seulement ses gémissements. Voilà maintenant deux mois que j’entretiens cette double relation. Deux mois que je m’affiche avec Pauline, mais que j’embrasse Caroline dès que j’en ai l’occasion. Deux mois que je couche avec Pauline, et qu’elle est la seule à ne rien savoir sur moi et Caroline. C’était excitant au début. J’avais l’impression d’avoir une double vie. Les remords, la culpabilité, tous ...