1. L'étalon aiguille (9)


    Datte: 08/12/2020, Catégories: Transexuels

    ... la frustration, la totale soumission au bon vouloir de l’autre, etc…Et puis, la mise en scène et les "accessoires", c’est très important, sur le plan visuel, sur le plan des sensations. La douleur pour la douleur n’est en aucun cas le but de la manœuvre. Tu vois ce que je veux dire? Tu veux bien essayer? Pour moi — Je ne sais pas, je… Mais pour toi, allez, oui… Pour toi, je suis prêt à faire n’importe quoi ! — Tu vas voir, n’aies pas peur. Je veux te faire découvrir ça et je suis sûre que ça te plaira ! Elle m’immobilisa alors à mon tour à moins d’un mètre du lit, les bras levés au ciel, reliés par une chaîne à l’un des fameux crochets fixés sur les rails du plafond. Bloqué ainsi, je ne manquais pas une miette du spectacle, au contraire, mais je ne pouvais pas y participer ou simplement m’en rapprocher plus. Ensuite, elle caressa mes vêtements, lécha le haut de mes cuissardes et se plaqua contre moi après avoir retroussé ma jupe. Elle se frotta doucement contre mon corps, puis caressa mes cuisses dénudées avec les pans de son manteau. Enfin, elle me bâillonna avec une écharpe de soie. Puis elle s’éloigna, manifestement satisfaite de mon état d’excitation. Elle alla s’asseoir sur le rebord du lit, et, tirant sur la laisse, attira la tête de Philippe vers elle avec un bon coup de cravache sur ses fesses bien exposées. Il lui embrassa les bottes, en commençant par le pied, puis il remonta lentement et minutieusement sur toute la longueur de la jambe. Arrivé en haut de la ...
    ... cuissarde, il passa sa langue sur le bord, et l’introduisit entre le bas que portait Tiffanny et le cuir de la botte, pour lécher tout le tour de sa cuisse. Elle tirait manifestement plaisir de cette caresse. Elle semblait vraiment adorer ça, et ses gémissements devenaient de plus en plus forts. Elle tira sur la laisse pour amener sa bouche entre ses jambes, en lui disant qu’il avait intérêt à bien se servir de sa langue. Pendant qu’il s’activait, je gémis de frustration : je me souvenais du goût que laissait sur les papilles le plaisir de Tiffanny, et j’aurais voulu le sentir à nouveau, là, tout de suite. Elle me regardait et souriait, satisfaite de la jalousie et de cette frustration que je laissais transparaître. De temps en temps, elle relançait Philippe d’un coup de cravache, mais il se tirait apparemment plus que bien de sa tâche, car, au bout de quelques minutes à peine, elle jouit bruyamment. Elle le repoussa alors en arrière de son pied botté, de telle sorte qu’il se retrouva sur le dos, à genoux, les cuisses bien écartées, avec son sexe fièrement dressé entre ses jambes, puis elle revint vers moi. Le spectacle qu’elle venait de m’offrir m’avait terriblement excité. Plus d’une fois, j’avais cherché, mais en vain, un moyen de frotter ma verge durcie contre n’importe quoi, juste pour me soulager. Lorsqu’elle fut près de moi, elle avança sa main sur le cuir de ma jupe déformée par l’érection. Elle massa quelques instants mes bourses à travers le satin de la petite culotte, ...
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