1. L'étalon aiguille (9)


    Datte: 08/12/2020, Catégories: Transexuels

    ... puis fit glisser celle-ci d’une main en retroussant ma minijupe de l’autre. Elle remonta sa jambe derrière mes reins (je constatais alors que les nombreuses leçons de danse qu’elle avait prises ne lui avaient pas été inutiles) et fit pénétrer mon phallus dans son vagin. -Tu es ma poupée gonflable en vrai, ça te plaît? — Huuum…... — Je sais que tu ne peux pas répondre, mais ça fait partie du jeu… Ça te plaît? — Huuum…... J’étais là, immobile, les bras au ciel et je ne pouvais ni bouger, ni la serrer contre moi. Mais elle, par contre, se servait effectivement de moi comme elle aurait pu le faire d’une poupée. Elle tenait mon sexe emprisonné dans un fourreau doux et chaud. Mon excitation me poussait à accompagner ses lents va et vient, mais ma position rendait extrêmement difficile toute coordination de mes mouvements, à tel point que plusieurs fois, mon sexe menaça de sortir d’elle. Elle garda alors sa main prête en permanence, et le remit en place le plus naturellement du monde à chaque fois que cela s’avéra nécessaire. Elle riait de ma maladresse et de mon impuissance. — Ça aussi, ça fait partie du jeu, Sam chéri… Tu es devenu ma chose, ça ne te plaît pas? — Huuum…... Petit à petit, je parvins néanmoins à me calmer un peu. Elle accéléra alors encore ses mouvements. Elle allait et venait en arrière tant et si bien qu’en moins de trois minutes, j’éjaculai en elle. Elle continua à me faire gémir en prolongeant un temps ses mouvements, puis se dégagea et retourna s’asseoir sur le ...
    ... bord du lit au pied du quel Philippe gisait toujours. Elle s’assit et saisit sa verge entre ses bottes. Elle le masturba ainsi jusqu’à ce qu’il soit au bord de la jouissance, provoquant pour lui une frustration presque aussi agréable qu’un véritable orgasme. Elle recommença ce manège plusieurs fois, tirant parfois sur la laisse pour redresser Philippe et ramener sa bouche sur son sexe tandis qu’elle se rallongeait à nouveau sur le lit en écartant largement les jambes. Elle l’aida ensuite à se relever et le fit allonger sur le dos, mains toujours attachées contre ses reins, avant de s’empaler sur lui pour faire l’amour en se servant à son tour de lui comme d’un objet. Philippe était manifestement plus rodé que moi à ces jeux : Tiffanny montait et descendait sur sa verge le plus vite qu’elle pouvait, mais lui réussissait à se contenir et à ne pas jouir tout de suite. A bout de souffle, elle s’arrêta et lui arracha sans ménagement le morceau de scotch américain qui lui couvrait la bouche. — Aïe ! — Ça t’a fait mal? … Tant mieux ! Ça t’apprendra. Alors, qu’est-ce qu’il y a? Tu n’es même plus foutu de me balancer ta purée? — Oh si, ma belle, mais pas si vite… Toi aussi, je vais te faire déguster ! — On parie? — L’enjeu habituel? — Oui. — Alors, OK. Tu sais ce que tu risques…? Retournant Phil sur le côté sans ménagements, elle dénoua alors la corde qui l’entravait mais lui rattacha aussitôt les chevilles aux pieds du lit et les bras à la tête de celui-ci. Elle se rassit sur lui et ...
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