L'étalon aiguille (9)
Datte: 08/12/2020,
Catégories:
Transexuels
... onduler de la croupe comme une vraie nana, je me baissai en écartant les cuisses. Ma main droite s’activait à toute vitesse sur ma verge droite comme un "I" tandis que la gauche se baladait partout sur mon corps. Pris au jeu, je m’approchais du lit jusqu’à me retrouver entre les jambes de Tiff’, gémissant de plaisir. Obéissant aux injonctions de Phil, mon index gauche vint bientôt coulisser entre mes fesses à travers le satin de ma petite culotte. Je renversai ma tête en arrière, caressant ma nuque avec les cheveux de la perruque. — Je savais bien que ça marcherait, j’en étais sûr
Tu commences à venir, c’est ça? — Oui
Ça y est, je viens
Oh Tiff’
Pardon ! Je t’aime, Tiff’. Oh oui ! J’écartai les jambes jusqu’à ce que mes cuissardes touchent les siennes, et m’appuyant les genoux contre le lit pour me pencher encore un peu plus en avant, j’expulsai ma semence en poussant un cri de plaisir. La première giclée atterrit juste en dessous de son sein gauche, la deuxième presque sur son cou et la troisième remplit son nombril avant que le reste de ma jouissance ne s’éparpille sur sa toison pubienne. Je continuais un instant à caresser ma verge qui ramollissait à peine, alors que ma main gauche était restée posée sur mes fesses. Les genoux toujours appuyés sur le lit, je repris mon souffle. Elle me souriait en me regardant dans les yeux. La cravache tenue par Philippe me ramena brutalement à la réalité en me cinglant les cuisses. — Maintenant, la gentille petite Sam va nettoyer ...
... avec sa langue les cochonneries faites par le vilain Sam ! Ça va couler sur le manteau, alors range ta queue dans ta culotte et fais vite ! — Mais ça va la tacher ! — Ne t’inquiète pas pour ça. Tu ne connais pas le proverbe chinois qui dit "Quel que soit le temps que tu passes à l’égoutter, la dernière goutte sera toujours pour le slip" ! Ah, ah, ah ! Je contournai le lit par le coté et me penchai en avant pour approcher ma bouche de sa poitrine tout en glissant ma main sous son cou. La cravache s’abattit cette fois sur mes fesses découvertes du fait de ma position. — Tu laisses tes mains, Sam, tu ne la touches pas
Attends, de toutes façons, je vais te rattacher, ça sera plus sûr. Je commence à te connaître ! Ne voulant pas que la doublure du manteau de Tiffanny soit souillée, je m’activai à lécher son corps sculptural pendant que Phil refermait sur mon cou le collier de cuir. Je nettoyai ainsi dans un premier temps son torse, puis revins me placer à genou entre ses cuisses pour opérer sur son bas-ventre. Le contact de ma langue sur son nombril sembla la chatouiller, mais lorsque j’entrepris de nettoyer les poils de son pubis, Tiffanny se mit à trembler. Espérant que Philippe ne s’en rende pas compte trop vite, je caressai de ma joue le cuir de ses bottes sur ses mollets et sous ses genoux. Je me mis à sucer son clitoris, lui arrachant un nouveau soupir de plaisir. Philippe tira brutalement sur la laisse, mais je l’implorai : — Non, laisse-moi continuer. S’il te plaît, Phil
Je ...