Une travestie lesbienne (1)
Datte: 09/12/2020,
Catégories:
Transexuels
... jouets sexuels. Il me désigna un gode-ceinture et me répondit : • — Dévierge-moi ! Il m’aida à enfiler le strapon, puis le recouvrit d’un condom aromatisé à la menthe. À genoux devant moi, il se mit à le sucer. Si j’avais vu la scène dans une vidéo porno, je l’aurais trouvée complètement ridicule. Mais ici, dans cette pièce, avec cet homme que je connaissais à peine et qui m’avouait ses fantasmes les plus intimes, je compris le message qu’il m’envoyait. Celui d’une complète soumission et moi qui devenait le mâle, je mouillais de plus en plus. Il revêtit le membre artificiel d’une bonne dose de lubrifiant, puis s’installa à quatre pattes sur le lit, le cul offert. Je me plaçai derrière lui et lui enfilai doucement la chose. Il pénétra de deux centimètres, puis il bloqua. Daniel m’avoua que c’était très serré et il me demanda d’être patiente. Je sentais que je lui procurais un mélange de jouissance et de douleur. Il était à ma merci. J’aurais pu lui faire très mal. Je me sentais forte, et lui vulnérable, mais en même temps, il avait la force de m’offrir sa vulnérabilité. Puis je sentis ses muscles se détendre et le godemiché s’enfonça jusqu’à la garde. À mesure qu’il entrait facilement, j’accélérais les coups de bassin. Daniel lâchait des gémissements qui semblaient venir du plus profond de son être. L’arrière du gode frottait sur mon sexe et j’avais l’impression que mon clitoris devenait un organe masculin. Ces frottements étaient agréables, mais c’est psychologiquement que ...
... cette position me faisait le plus d’effets. Malgré toutes les luttes des femmes, les hommes dominent toujours la société. Et là, c’est comme si j’envoyais promener des siècles de soumission par quelques coups de hanches. Car, plus aucun doute, dans cette position, c’était moi qui avais le pouvoir. Je me sentais homme et puissant et j’avais le goût de le (la ?) baiser férocement. Ses cris de jouissances m’excitaient terriblement et lorsqu’il atteignit l’orgasme, par une sorte de contagion, je l’atteignis moi aussi. Nous nous écroulâmes tous les deux en nous tenant dans les bras, comme si, pendant un moment, nous n’avions formé qu’un seul être. Nous nous endormîmes tous les deux couchés en dos de cuillère. Le lendemain matin, l’odeur du bacon me réveilla. Daniel était déjà debout et avait préparé le petit déjeuner. Encore une fois, nous nous mîmes à jaser de tout et de rien dans une conversation des plus agréables. Puis il commença sa toilette du matin. Comme son rôle s’était terminé hier, il se fit la barbe. Je remarquai qu’il avait les traits fins. Puis il commença à se raser le poil sur tout le corps. Il me demanda mon aide pour passer le rasoir sur son dos. Cela m’excita de le voir changer sous mes yeux. Il me dit : • — Enfin, je vais pouvoir recommencer à me travestir. Est-ce que tu aimerais me voir en fille ? Je lui avouai que cela m’intriguait beaucoup. Je l’aidai à se parfumer, à se maquiller. À cheval par-dessus lui, je lui appliquai du rouge à lèvres, du fond de teint ...