La photo
Datte: 10/12/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
vacances,
plage,
amour,
pénétratio,
... entre mes seins, s’arrête sur ce qui me reste encore de caché. Deux petits nœuds blancs se sentent devenir indésirables. Ils se laissent gentiment tirer l’oreille par mes doigts qui jouaient avec eux depuis un moment. Ce que la cordelette maintenant dénouée retenait, s’envole rejoindre dans un frémissement la serviette abandonnée un moment plus tôt. La sage blancheur du triangle de tissu fait place à une tonalité plus sombre et sauvage. Le regard du mâle envoûté se perd dans ma toison taquinée par la brise du soir venant de la mer. Un fourmillement familier naît dans mon bas-ventre, une vague de moiteur m’imprègne l’entrejambe. Mes pieds s’écartent un peu plus. Le sien retrouve sa liberté. Il s’engage dans la voie que j’espérais, l’intérieur de mes cuisses, vers le haut, jusqu’à câliner mes lèvres, les séparer, s’enduire de ma liqueur intime, pour la répandre avec minutie le long de ma fente qui s’offre à lui. Il la délaisse bientôt, sa mission accomplie. Je sens mon sexe se transformer en un grand vide avide. Je contemple son sexe qui pulse dans le vide, un autre vide. Je le veux maintenant, ici, dans mon vide à moi. Je m’agenouille à califourchon sur son bassin, incitant son gland à jouer à la tête chercheuse pour pénétrer à l’aveuglette entre les pétales de ma fleur épanouie. Je succombe, je tombe, je coule le long de son sexe, je m’enfonce, je l’enfonce. Il me défonce sans heurt, tout doucement, au gré de mon bon plaisir, en un long et lent glissando. Notre duo accorde ...
... ses instruments, maintenant totalement fusionnés. Mon corps s’immobilise sur le sien. Je les veux ainsi. Immobiles. En apparence seulement. Une partie de bras de fer s’engage entre son phallus qui se gonfle encore et encore, et la paroi de mon vagin qui se contracte autant qu’il le peut. C’est l’organe mâle qui prend le dessus, pour me ravir. Je le sens épais, majestueux, enserré dans mon fourreau élastique, qui le moule au plus près et s’ajuste au moindre relief, l’arrondi parfait du gland, le frein tendu, le prépuce retroussé, la veine onduleuse dilatée, la base resserrée de sa tige, baguée par l’anneau de ma vulve. Immobiles étaient nos bassins, immobiles sont maintenant nos sexes. Quant à nos mains ? Je pose les miennes sur ses pectoraux que je modèle, masse, pétris. Encouragé par ce geste, il tend les siennes pour épouser de la paume l’arrondi de mes seins frissonnants. Ses deux pouces se mettent à vagabonder autour des pointes qui s’éveillent, s’étirent, se raidissent inexorablement. Je leur jette un coup d’œil, fière de les surprendre à se donner l’apparence de deux répliques miniatures du pieu planté en moi. Arrivées à leurs fins, ses mains s’éloignent de leurs deux amusettes pour glisser sous mes aisselles, se rejoindre dans mon dos, et filer le long de ma colonne, en hésitant sur chaque vertèbre. Elles franchissent le creux prononcé de ma cambrure, flattent au passage deux rondeurs ensorceleuses, les écartent davantage, les soulèvent un peu. Mon sillon sensible guide ...