La photo
Datte: 10/12/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
vacances,
plage,
amour,
pénétratio,
... l’offrande à la main aimante. La mienne en profite outrageusement, en bougeant à peine, en recueillant entre les doigts le moindre friselis des frisottis ébouriffés. Seul le pouce, mis de côté, ne participe pas au jeu. Mais il sait le plaisir qu’il peut donner lorsque la main positionnée dans le sens opposé, lui permet d’envahir l’intimité féminine. Mon esprit s’envole en pensant à cette main qui n’est alors plus qu’une pince troublante, voluptueuse, s’emparant du sexe tout entier, s’ajustant pleinement à la conque moussue et au mont velouteux. Le plus petit de ses mouvements en appelle d’autres. La certitude de provoquer un irrésistible chavirage s’installe inexorablement. Suffit ! Je rappelle mon esprit à l’ordre, brutalement. Où était-il en train de s’égarer en ce moment ? Quelle agréable preuve qu’une main réfugiée dans un buisson féminin bien fourni est un aphrodisiaque puissant. Il m’a un instant extrait du réel au point d’en oublier la présence de l’être caressé. Je réalise soudain que la serviette nouée autour de mes reins est soumise à une pression grandissante à laquelle elle résiste difficilement. Mais l’excitation visible sous ma taille se retrouve aussi sur le visage de ma belle, enflammé, extatique, aux paupières closes, aux lèvres entrouvertes où se promène une pointe de langue humide. Devant autant de béatitude affichée, je me sens pousser des ailes pour poursuivre plus loin mon exploration. L’envie me vient de pouvoir jeter un regard sur ce que ma main a à ...
... la fois découvert et recouvert. Aussi, elle se glisse sous la cordelette blanche jusqu’à un premier petit nœud bien gênant dont elle a tôt fait de tirer l’oreille. Encouragée par autant de facilité, elle s’attaque au deuxième qui se laisse faire avec la même complaisance. Elle n’a plus qu’à tirer en l’air la cordelette pour un lever de rideau tant attendu… sauf que le haut d’une cuisse perturbatrice, dans un geste protecteur très féminin, vient se poser sur ce même rideau pour l’empêcher de s’envoler. Fichtre, que me voilà bien contrarié. Je me tourne vers le visage de ma muse, cette fois illuminé d’un grand sourire espiègle. Son regard s’amuse de ma mimique interrogative et me répond en fixant effrontément ma serviette qui dévoile plus qu’elle ne cache un phallus en pleine transformation. — Toi d’abord bel oiseau, montre-toi le premier ! dit-elle mutine. Ah la rebelle, c’est comme ça qu’elle veut la jouer ? Bien. Je me redresse donc sur les genoux, en les écartant légèrement, accentuant ainsi la tension dans la serviette et confirmant la grande nervosité du "bel oiseau" emprisonné dans sa cage. Le regard de la belle se fait gourmand alors que je défais le repli de la serviette la fixant à ma taille. Ma main emporte le coin du tissu. La serviette se dérobe. Je la maintiens au-dessus de sa taille, laissant quelques plis caresser son ventre qui se creuse et sculpte ses abdos de sportive. Cette vision accélère aussitôt l’envol de la tête de l’oiseau. Il se relève, se gonfle par ...