Valérie : l'insoupçonnée (3)
Datte: 10/12/2020,
Catégories:
Hétéro
... flancs, glisse lentement mais sûrement à mon entrejambe. Notre baiser cesse et je descends directement à sa poitrine, léchant, aspirant, goûtant, mordillant tout à tout ses jolis lolos. Valérie gémit, halète et elle déboutonne enfin mon pantalon. Hésitante, elle reste sur mon boxer avant que je ne le baisse pour poser sa main sur mon sexe bien dur, qu’elle s’empresse de masturber avec délicatesse. Valérie attire mon visage au niveau du sien, m’embrasse, et se penche sur ma bite qu’elle embrasse et lèche avant de la prendre dans sa bouche. Adroite, précise et raffinée, sa fellation est un vrai plaisir, du moins, dans un premier temps. De l’orfèvrerie. Valérie se tourne quelques secondes vers moi avant de reprendre son agréable caresse et s’agenouille sur le banc. Mais ce n’est plus la même manière de faire : ce sont tout d’abord trois gorges profondes impressionnantes puis Valérie enchaine à un rythme effréné avec une amplitude admirable. J’ai envie d’aller caresser son entrejambe, mais quand elle sent monter ma main à l’intérieur de sa cuisse, Valérie attrape mon bras. Alors je profite de cette prodigieuse fellation. Sa tête monte et descend tel un métronome stressé. Je suis à bout. Je le lui dis. Ça ne change rien. J’explose dans sa bouche. Léger ralentissement puis elle finit par de lents allers-retours avant de se redresser. Je suis médusé. Les joues rouges, décoiffée, elle rit en voyant ma tête. Il y a de quoi : je viens d’être gratifié de la plus formidable fellation de ...
... ma vie et je dois avoir une tronche pour le moins ahurie, voire complètement niaise. Valérie remet son soutien-gorge et sa robe. Je remonte machinalement sa fermeture Éclair car elle me le demande. Riant encore, elle me dit : — Tu peux le ranger maintenant. J’ai encore la bite à l’air. Au repos désormais. Je ris à mon tour, me lève et me rhabille. Je reprends place et embrasse tendrement la jolie brune. — Je… Valérie place son doigt sur ma bouche. — Moi aussi, j’ai beaucoup aimé, mais je n’aime pas que l’on commente ensuite. Je lui souris et l’embrasse encore. Le visage soudain plus grave, Valérie dit ensuite : — Je veux que tu saches que je me sens bien avec toi. Je me sens désirée d’une façon tellement touchante, respectueuse. Travailler avec des hommes, ça blinde, mais toi, tu as su me toucher. Tes attentions, ton regard, ton écoute, ton respect… Elle marque une pause et ajoute : — Puisqu’il faut en parler, tu sais qu’avec mon mari, nous nous éclatons dans nos emplois respectifs mais nous avons des horaires radicalement opposés. Alors on se croise mais on ne vit pas vraiment ensemble et malheureusement notre couple en pâtit. Les yeux de Valérie deviennent brillants. Je passe ma main autour de ses épaules. — Ce n’est pas facile de parler de ça. J’ai un peu honte de ce que je fais avec toi, j’ai des remords, Mais j’ai tellement besoin d’être regardée comme tu le fais, de sentir le désir. Tu n’as même pas besoin de mots, ton visage, tes yeux, ton corps parlent pour toi. Je te ...