1. Valérie : l'insoupçonnée (3)


    Datte: 10/12/2020, Catégories: Hétéro

    ... plais et cela me comble de plaisir. Elle prend un mouchoir et tamponnent ses yeux. — Mais je n’attends rien de toi et tu ne dois rien attendre de moi, il faut que ça soit clair. Sa pause me pousse à prendre la parole à mon tour. — Pour moi, la situation n’est pas la même. C’est juste que nous n’avons plus de relations sexuelles. Ma femme n’a plus aucune envie, aucun désir. J’ai tenté de relancer la machine, par des attentions quotidiennes, par les dîners en tête à tête, par des week-ends en amoureux, par des mots doux, par un soutien plus marqué, mais rien. Elle limite nos contacts au minimum, refuse mes avances et trouvent des excuses. Depuis cinq ans, nous faisons l’amour trois ou quatre fois par an au maximum. J’ai eu envie de tout plaquer à certains moments mais j’ai peur pour les enfants et… L’émotion me brise la voix. Les larmes sont désormais dans mes yeux. fjcfhhye — Je n’ai plus confiance, je n’ai pas le courage. Valérie se love contre moi, dépose un doux baiser sur ma joue où perle une larme. — Je cherche du "réconfort" à travers les regards, les sourires, les paroles douces et affectueuses des femmes que je côtoie. Mais je garde mon masque. Jusqu’à toi. — C’est lors de la soirée du personnel que ...
    ... j’ai compris que nous avions le même besoin d’affection. Le baiser qui suit est un concentré de tendresse et de douceur. J’aimerais qu’il ne se termine jamais. Il est temps de revenir à la voiture. Dernier baiser avant de se mettre en route. Valérie dit qu’elle a très envie de me revoir mais elle préfère attendre, comme cette fois. Je lui dis que ça me va et qu’elle peut compter sur moi pour "faire le mort" quelques temps. Elle rit. En arrivant devant son lieu de travail, je dis : — En tout cas, ça fait deux fois que tu mets des bas autofixants et je n’en ai toujours pas vu le haut. Valérie rit. Je me gare en face de l’entrée. Valérie se dandine sur le siège pour remonter sa robe au dessus des jarretières collantes. Je provoque : — Pas plus haut ? Dommage… Se penchant vers moi pour me faire la bise, elle répond : — Mon tanga est aussi ajouré que mon soutien-gorge. — C’est du harcèlement. — N’insiste pas. Tu ne sauras pas si mon minou est tout poilu ou non. Nous éclatons de rire. Valérie passe rapidement la main sur mon sexe à nouveau dur. Puis, ouvrant la porte, elle dit : — En tous cas, un chose est sûre : ton boxer est bien plus sec que mon tanga. Et elle rit à nouveau. Elle referme la porte et s’en va. 
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