Ma vie sexuelle continue... Béa
Datte: 11/12/2020,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
copains,
Masturbation
intermast,
Oral
... embrassâmes fougueusement et au moment où nos lèvres se séparèrent elle eu un grand sourire et me dit : «Et bien, tu es déjà en pleine forme, d’après ce que je sens contre mon ventre !» C’était peu dire ! J’étais excité au plus au point et il me tardait d’arriver chez elle. Enfin nous y fûmes. Elle me proposa quelque chose à boire mais je déclinai son offre. Au lieu de cela, je l’attirai vers moi et l’entourai de mes bras. — Oh ! Mike, me murmura-t-elle, serre-moi fort contre toi. Nos bouches se joignirent et, tandis que nos langues dansaient un ballet effréné, une de mes mains se glissa sous son T-shirt et se mit à caresser doucement un sein. Elle avait une poitrine menue : deux petites oranges, mais d’une beauté parfaite. Je roulai son téton entre mes doigts et celui-ci durcit, tandis que la respiration de Béa se faisait plus rapide. Brusquement, elle s’arracha à mon étreinte et me souffla : — Viens, allons sur mon lit. Je la suivis dans la chambre, la repris dans mes bras et la poussai sur le lit. J’étais ivre de désir et je la déshabillai. Pour la première fois je la voyais entièrement nue. Je mis mes mains sur ses épaules et descendis le long de ses bras. Ce fut plus un effleurement qu’une caresse. Béa frissonna et son bassin se souleva légèrement. Je remontai le long de son ventre pour atteindre sa poitrine. Je caressai ses deux petits seins, puis ma bouche vint remplacer mes mains. Je lui suçai tendrement les bouts dressés. Elle poussa un petit gémissement puis me ...
... demanda de me déshabiller également. Je me débarrassai donc de mes vêtements. Pendant ce temps elle se caressait un sein d’une main, tandis que l’autre s’activait sur son entrejambe. Je me recouchai et sa main quitta son sexe pour s’emparer du mien. Sensation inoubliable que cette douce petite main explorant ma virilité. J’étais au comble de l’excitation et je repoussai sa main in extremis car je sentais monter l’orgasme. Elle me lança un regard interrogateur et me demanda : — Qu’y a-t-il ? T’ai-je fait mal ?— Non, ma petite chérie, tu me fais trop de bien et j’étais sur le point de jouir !— Déjà ? Si vite ?— Ben oui. Tu sais que tu es la première fille avec qui je couche ? Laisse-moi plutôt te caresser. Ne fais rien, laisse-toi aller. Je mis ma main entre ses cuisses et remontai jusqu’à sa fente. J’écartai les grandes lèvres et pus constater qu’elle mouillait abondamment. Mais mon inexpérience me fit commettre une maladresse. Elle écarta ma main et dit : — Attends; ne soit pas si brusque. Remets ta main, doucement… oui, comme cela. Remonte lentement maintenant… là… plus haut… tu sens mon clitoris ? Je me mis à frotter ce petit renflement de chair, ce qui eut pour effet de la faire se reculer à nouveau. — Doucement, dit-elle, les filles sont très sensibles à cet endroit. Touche-le légèrement, tourne autour, mais évite les contacts trop directs. Je suppose qu’il doit en être de même pour le gland du pénis chez les garçons. Et, joignant le geste à la parole, elle commit l’erreur de ...