1. Ma vie sexuelle continue... Béa


    Datte: 11/12/2020, Catégories: fh, ff, fbi, copains, Masturbation intermast, Oral

    Comme je le disais en terminant mon premier récit, la disparition tragique de Claude m’avait fait une peine immense, mais le corps et le cerveau humain ont des ressources insoupçonnables pour récupérer. De plus, la présence continue d’étudiantes dans mon entourage me faisait de l’effet et je me surprenais souvent à éprouver d’étranges battement de cœur en regardant mes camarades du beau sexe. Mais j’avais un sérieux problème. En présence d’une jeune fille, je devenais timide. Je n’osais pas me déclarer. Souvent j’engageais la conversation, j’en invitais une à boire un verre, ou à aller au cinéma. Mais au moment crucial, quand tout mon être me soufflait «Vas-y, déclare-toi !», je me taisais lamentablement, je parlais de choses anodines et la soirée se terminait sans qu’il se passe quelque chose. Rentré dans ma chambre d’étudiant, je m’en voulais à mort et écrivais une lettre à la belle, dans laquelle je lui parlais à mots couverts de mes sentiments pour elle. Le résultat était généralement une réponse assez laconique, dans laquelle elles me disaient que j’étais vraiment un garçon charmant, romantique, agréable et qu’elles étaient fort heureuses d’avoir un «ami» comme moi, à condition que cela reste de l’amitié. Ce qui ne m’arrangeait évidemment pas du tout. Elles devaient se dire qu’un manque de courage aussi flagrant ne méritait pas plus que l’échappatoire classique de l’amitié. Cette rentrée académique-là, quelque chose changea. Une nouvelle étudiante fit son apparition. ...
    ... Lorsque je la vis pour la première fois, je fus suffoqué par sa beauté. Elle était petite, les cheveux blonds, un sourire à vous couper le souffle. Elle ressemblait comme deux gouttes d’eau à la chanteuse en vogue à l’époque: France Gall. Je réussis à me placer à côté d’elle à l’auditoire et durant le cours je ne pus m’empêcher de lui faire quelques commentaires sur les leçons, sur les profs, histoire de l’initier quelque peu. Je faisais tout cela avec humour, que je pratiquais à toutes les occasions et son rire m’allait droit au cœur. Je sortis de ce cours complètement amoureux. Une foule d’autres étudiants se pressaient autour d’elle, essayant, eux aussi, de se faire remarquer. J’en éprouvais une pointe de jalousie. Le soir, dans mon lit, je me livrai à une lente masturbation et c’est en revoyant son visage, les yeux fermés, que je parvins à un orgasme dont l’intensité n’avait plus été aussi forte depuis longtemps. A cette période de début d’année académique, la vie étudiante était (et est toujours) fort trépidante. L’on ne se soucie pas trop des examens se situant dans une perspective encore fort lointaine. Les soirées se passent à sortir ou à assister à des «Thés dansants», façon officielle de donner un nom à ce que nous appelions des «guindailles ». Ce jour-là, à la fin d’un cours, je demandai à Béa si elle acceptait de m’accompagner au Thé dansant des étudiants en médecine. Ce qu’elle accepta avec enthousiasme. — Je passe te chercher vers 19.30 heures à ton «kot» lui ...
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