1. Gentils Médors (1)


    Datte: 21/10/2017, Catégories: Zoophilie,

    Gentils Médors Nous sommes le samedi trente juin, il fait très chaud en cette mi après-midi et je suis seul dans ma maison devant mon ordinateur, nu comme d’habitude. Je surfe sur internet pour trouver les pièces nécessaires à la restauration de ma nouvelle acquisition, une Cadillac Eldorado Fleetwood cabriolet de 1965 avec un moteur V8 de sept litres. Elle est dans un état que je qualifierais de préoccupant, mais comme je ne l’ai payé qu’une bouchée de pain, ce sera quand même une bonne affaire une fois restaurée. Je n’ai besoin que de patience pour arriver à mes fins et pouvoir rouler avec. Je suis accaparé par ma recherche quand la sonnette retentie. Une personne crie derrière la porte. –C’est moi Elodie. Elodie est mon amie d’enfance, nous nous sommes connus à la maternelle il y a presque trente ans. C’est une femme magnifique, malheureusement, elle est lesbienne, ce que je regrette profondément, ayant été très amoureux d’elle à l’adolescence. Je vais ouvrir sans me couvrir, elle a l’habitude. J’ouvre la porte, Elodie est là, mais pas seule, elle est accompagnée d’une très jolie femme d’environ trente ans, tenant un magnifique labrador d’à peine plus d’un an en laisse. Elodie se retourne vers elle. –Tu vois, je te l’avais bien dit, il est à poil, il est tout le temps à poil chez lui, quelle que soit la saison. La femme me jauge de haut en bas et me regarde un peu amusée. –On peut entrer ? –Bien sûr. Je m’écarte et les laisse entrer. –Je te présente Gabrielle, ma ...
    ... nouvelle copine, accompagnée de son adorable chien, Médor. Elodie vient m’embrasser suivi par Gabrielle qui en fait autant, mais elle fait en sorte que nos lèvres se touchent sur les côtés. Elle a un sourire un peu narquois. –Attention, contrairement à moi, Gabrielle est bi, elle aime aussi les hommes. –Voilà une bonne nouvelle, installez-vous, je vais chercher quelque chose à boire. Je vais dans la cuisine pour chercher des boissons fraîches, cela prend quelques minutes, quand je retourne au salon, elles sont assises sur le divan à discuter. Gabrielle caresse négligemment son chien. Je dépose les boisons sur la table basse et m’assoie en face d’elles. J’en profite pour détailler un peu plus Gabrielle. C’est une belle femme, brune, les yeux clairs, le tain mâte, avec une poitrine moyenne, mais qui se tient toujours. Elle est habillée d’une jupe courte et d’un corsage clair qui laisse apparaitre la naissance de ses seins que l’on devine libres sous le tissu. Elle est assise les jambes serrées, mais sa jupe fait un pont entre ses cuisses. En y regardant mieux, je m’aperçois qu’elle ne porte rien sous sa jupe, j’aperçois le haut de son pubis lisse, mais pas de culotte. –Que me vaut le plaisir de te voir ? –En fait, c’est pour te demander un service. –Mais encore ? –Voilà, nous partons quinze jours en Angleterre pour une exposition que je fais avec d’autres artistes, mais nous ne pouvons pas emmener Médor, les anglais sont des paranoïaques de la rage, il faut le laisser un mois en ...
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