1. Gentils Médors (1)


    Datte: 21/10/2017, Catégories: Zoophilie,

    ... évidemment, à poil comme d’habitude. Je dois passer sous le divan, et pour se faire, je m’agenouille devant en faisant glisser la brosse dessous. Je m’applique à ne pas oublier le moindre centimètre carré quand je sens un souffle sur mes fesses, puis une chose humide qui se pose sur elles et une langue douce qui essaye de se glisser entre elles. Je me redresse brusquement, me retourne et vois Médor qui me regarde avec des yeux de chien battu. –Ca va pas Médor ? augaxxyp Il comprend que je ne suis pas très content et va se coucher sur sa couverture. Je remarque quand même que le bout de sa bite est légèrement sortie. Je fini d’aspirer et vais prendre une douche. Sous la douche, je repense à ce qui vient de se passer. Médor n’essayait tout de même pas de me sodomiser ? L’idée de me faire sodomiser ne me choque pas, je suis bi, cela m’est arrivé très souvent et j’aime ça, mais là, c’est un chien et je ne suis pas une chienne en chaleur. Je remarque tout de même que rien qu’à l’idée de me faire sodomiser par un chien, ma bite réagit doucement en se redressant. Petit à petit, l’idée fait son chemin, j’imagine la bite de Médor dans mon fion et je me mets à bander comme un âne. Je fini par me calmer et après m’être essuyé, je retourne à la cuisine pour préparer à manger. Je commence par la gamelle de Médor. Il est derrière moi. Quand je me penche pour poser sa gamelle à terre, je sens son museau sur ma fesse gauche. Je me redresse, il est devant moi à battre de la queue en me ...
    ... regardant. Je sors de la cuisine pour le laisser seul, je suis étonné du comportement de ce chien et pour tout dire, passablement troublé. Je retourne à la cuisine quand il a fini de manger. Je me prépare quelque chose et m’installe à table pour manger. Médor vient vers moi et pose sa tête sur un de mes genoux. Je repense à ce qui s’est passé et j’ai de plus en plus la certitude qu’il voulait me prendre comme une chienne. A la fin du repas, après avoir tout rangé, je m’installe sur le divan, couché sur le côté pour regarder la télévision. Médor vient s’assoir à côté du divan et poser sa tête sur ma cuisse. Je le caresse machinalement. Je sens son souffle sur mon autre cuisse. Il tourne légèrement la tête vers moi et son souffle se dirige vers mes couilles et ma bite. De sentir ce souffle chaud sur elles ne me laisse pas indifférent, mes couilles commencent à monter et descendre et ma bite à se redresse. Médor s’est levé, son souffle est de plus en plus fort, il commence à s’agiter. Je remarque que sa bite est, encore une fois, légèrement sortie de sa gaine. Maintenant, je bande comme un âne, n’y tenant plus, j’éteins la télé et me redresse pour m’assoir sur le divan les jambes légèrement écartées. Médor vient poser sa tête entre elles. Je commence à réaliser que ce chien n’en est pas à sa première expérience et qu’il doit se laisser aller à des actions pas très anodines avec sa maîtresse. Il ne me reste qu’une chose à faire pour avoir la confirmation de mes soupçons. –Reste là ...
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