Une Patronne sévère et douce
Datte: 12/12/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
Collègues / Travail
hsoumis,
fdomine,
BDSM / Fétichisme
pied,
chaussures,
Oral
nopéné,
sm,
nostalgie,
... réveiller à tout moment… M’étant rendu sans tarder à son rendez-vous, j’avais trouvé un immense entrepôt, avec à l’entrée un bureau où travaillaient deux caissières et une sorte de comptable, toutes âgées d’une trentaine d’années, et effectivement du genre pétasses tout à fait propre à créer des problèmes à un quelconque employeur. Un peu plus loin, j’aperçus dans les rayons deux autres femmes en jean, du genre camionneuse musclée, et tout à fait en état de transporter avec leur petit chariot électrique les pièces les plus lourdes. À l’observer, l’ensemble du personnel laissait une impression bizarre, un peu comme dans ces boîtes merdiques où les mauvaises conditions de travail amènent une rotation rapide du personnel. J’étais encore en train d’y réfléchir lorsque ma future Patronne arriva et me dit de la suivre dans son bureau. Le contraste avec ses employées était absolument saisissant. C’était une femme d’environ soixante ans, cheveux grisonnants, grande, mince, bien qu’en la suivant je remarquais tout de suite son large fessier, d’autant plus attirant que ses jambes et ses cuisses étaient fines… Elle était habillée avec soin : jupe noire assez large, petit vernis noirs, chemisier gris perle à longues manches un peu bouffantes, cheveux tirés en arrière et retenus par un petit nœud de satin. J’avais remarqué, avant qu’elle ne se retourne, un maquillage appuyé mais néanmoins discret, avec des lèvres passées au rouge très foncé, de quoi dissimuler les premières atteintes de ...
... l’âge. Arrivée dans son grand bureau, dont le luxe tranchait avec le bureau assez sordide de ses employées, elle s’assit dans son fauteuil de direction, derrière un large bureau de bois, couvert de dossiers. Elle avait tout à fait l’air de ces patrons de caricature : sûrs d’eux, voire arrogants, vous jaugeant pour savoir le profit qu’ils pourraient tirer de vous. En fait, il ne lui manquait plus que le gros cigare pour coller à cette image populaire… Ce n’était pas trop engageant, même un peu révoltant, mais son raffinement vestimentaire me séduisait déjà… J’étais toujours débout, et je commençais à ne plus comment savoir me tenir. Elle me regardait sans rien dire, la situation devenait bizarre… Lorsqu’elle prit enfin la parole, ce fut pour me demander si j’avais vraiment besoin de travailler, et si j’étais prêt à faire ce qu’il fallait pour qu’elle m’embauche et qu’elle me garde. Elle en avait assez des pétasses qu’elle avait précédemment embauchées et qui ne lui amenaient que des problèmes avec la clientèle, qui arrivaient sans arrêt en retard, ne pensaient qu’à aguicher les clients hommes, y compris même devant leur épouse. Avec moi, embauché sous ce nouveau contrat précaire, et en plus à temps partiel au début, il faudrait que ça change. Elle m’avertit qu’elle me tiendrait serré, qu’il faudrait que je lui obéisse, que je sois docile même… Je tenais les yeux baissés, je ne disais rien, je me faisais tout petit, mais j’étais déjà sous l’emprise de cette femme, je sentais que ...