Séduction délicate de la soeur de ma mère (6)
Datte: 12/12/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Si vous avez manqué le début. Je m’appelle Patrick et je suis en vacances pour deux semaines chez ma tante Véronique, sœur de ma mère Anne à Bordeaux. Elle a 42 ans, divorcée, 2 enfants, 1m72 pour 55 kg et moi, 23 ans 1m80 pour 75 kg étudiant. Nous sommes en "couple" depuis 6 jours et rentrons d’un séjour à Biarritz, ma tante s’étant fait passer pour ma copine auprès de mes potes… Un grand soleil faisait son apparition en début d’après-midi et ma tante, toute réjouie de retrouver son chez-soi s’absentait une petite heure le temps de faire les courses. La fin de semaine s’annonçait calme, Véro ayant décidé de pas répondre au téléphone ou plutôt de filtrer les appels. Je nageais dans la piscine quand ma tante arriva chargée de courses. Le temps de me sécher, j’étais dans la cuisine pour lui donner un coup de main. — Ca n’était pas la peine Patrick… — Allez tout est rangé, Mets-toi en maillot et viens me rejoindre. Lui lançai-je. — Ah tu ne perds pas de temps, je monte en haut et j’arrive. Aussitôt Véronique se présenta toujours aussi ravissante en bikini blanc. Elle savait fort bien l’attirance qu’elle exerçait sur mon humble personne dans une telle tenue. Malgré le haut de son maillot, il était aisé de deviner ses seins vigoureux en forme de poire. Je l’attendais au beau milieu de la piscine et la voir de derrière prendre les marches de l’escalier ne fit qu’attiser mon désir secret. Comme dit dans les chapitres précédents, cette envie grandissante de lui faire du bien dans ...
... cet endroit défendu devenait omniprésente dans mon esprit. Fort d’une fellation quasi parfaite lors de notre séjour à Biarritz, je n’avais désormais qu’un seul but, l’étape ultime. Tel un chevalier de la Table ronde, le cul de ma tante était devenu mon Graal, ce vase au contenu inépuisable. Chacune de ses fesses, je souligne au passage que le créateur ne s’était pas égaré à ce sujet, n’était que source d’inspiration fantasmagorique inépuisable. Je ne me lassais pas de les contempler à chaque occasion. Ma tante, loin d’être dupe de mes idées relativement déraisonnables voire inconcevables entre une tante et son neveu, feignait en se remplissant de joie pour se baigner à mes côtés. — Comme elle est bonne. Dit-elle en faisant des brasses. — Ca détend, on reprend des forces. On en a bien besoin. — Oui on a pas beaucoup dormi ces derniers jours… C’était une allusion directe concernant notre séjour à Biarritz où l’amour fut roi entre nous deux. Cette dernière remarque n’empêchait pas ma tante de me faire un petit sourire en coin, preuve de son bien-être actuel. Après quelques galipettes, je quittais ce bassin pour envelopper Véronique dans une grande serviette en la séchant vigoureusement. — Tu es à mes petits soins Patrick. S’adressa-t-elle à moi radieuse de se faire chouchouter. — Je prends soin de toi, un rhume est vite arrivé. Plaisantai-je avec un ciel sans nuages. — Bon maintenant que nous sommes entre nous, je me mets à l’aise pour bronzer, depuis le temps que j’attendais ça ! ...