1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (6)


    Datte: 12/12/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Je n’en croyais pas mes yeux, ma tante si pudique auparavant dégrafa le haut de son bikini puis se débarrassa du bas. L’effet Biarritz sans aucun doute… Elle s’étendit entièrement nue sur le transat. Sans voix, j’étais simple spectateur devant son corps éblouissant. Elle lisait un magazine tandis que je ruminais dans mon coin. Je ne savais pas par où commencer pour lui proposer ma petite idée et je ne souhaitais pas être trop pressent. Que cela vienne d’elle relevait de l’hérésie la plus totale, aussi je convenais de rester sourd à mon fantasme royal pour le moment. Sans le lui demander, je déposais une noisette de crème sur le bas du dos. — Ah la délicate attention et dire que j’allais oublier, heureusement que tu penses à tout. — Je ne voudrais pas que tu attrapes un coup de soleil sur ta peau blanche. Précisai-je en passant mes mains sur la peau fine à la naissance de ses fesses exquises. — J’aime quand tu t’occupes de moi Patrick, tu es très attentionné. Le téléphone sonna, c’était ma mère très proche de sa sœur. Véro se retourna pour prendre le portable tout en m’offrant la panoplie complète de sa plastique tant désirée. — Bonjour Anne, oui Patrick est là et tu veux que je te le passe ? — Bonjour maman tu vas bien ? Lui demandai-je tandis que je caressais lascivement le ventre de sa sœur. — Bonjour mon grand oui ça va, écoute ta grand-mère vient samedi nous voir et elle aimerait tant te voir, tu pourrais faire un saut pour le week-end et tu repartiras à Bordeaux ...
    ... rejoindre ta copine ? Allez dis que c’est ok… Me supplia-t-elle. — Je vais prévenir ma copine et je prendrais le TGV demain dans ce cas. Répondis-je avec une voix atone à l’instar de mes passages incessants sur le bas ventre de ma tante. — Tu sais que Mamie t’adore, bon je t’embrasse et passe-moi Anne. J’avais la mine des mauvais jours, mon plan tombait à l’eau. Il m’était impossible d’ici demain de concrétiser ce projet insensé par un manque de temps évident et j’étais dans l’obligation d’accepter. Sans perdre la tête, mes caresses se faisaient plus précises pour stimuler, par des passages aléatoires, la zone érogène de son intimité. Entre-temps Véronique reprenait la conversation et ma mère Anne pensait décidément à tout. — Véro, j’ai dit à Patrick de venir voir maman, elle m’a appelée hier mais je n’arrivais pas à te joindre ? S’inquiéta-t-elle. — Ah bon ? Pourtant je n’ai pas bougé ! Mentit-elle avec aplomb en invitant ma main à rester entre ses cuisses. — Ce n’est rien mais dis donc, tu pourrais venir toi aussi, ça fait un bail que tu ne l’as pas vue ! — Euh oui… Admit-elle en se trémoussant. — Bah Véro ? C’est oui ou c’est non ? S’interrogea ma mère de son attitude nonchalante. Face à cette réponse déconcertante, il est nécessaire d’ajouter à la défense de ma tante sa situation encore une fois confuse du fait d’éléments extérieurs. En effet elle avait ses longues jambes écartées et je parcourais la moiteur de son vagin et force fut de constater que l’agitation de mon doigt dans ...
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