Fille au pair (chapitre 4 / 6)
Datte: 21/10/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Les suites de mon année espagnole. Pour les fêtes de fin d’année, je retourne passer une dizaine de jours chez mes parents. J’arrive avec plein de cadeaux dans mes bagages pour combler tous ceux qui me sont chers de petits présents achetés à leur intention. Dès mon retour à Barcelone, je retrouve mes habitudes au sein de la famille. Le matin, pour ne pas perdre trop de temps, je prends mon petit déjeuner dans mon studio avant de partir à mes cours. Je fais souvent le trajet avec Luis qui poursuit ses études dans la même faculté que moi mais dans une branche différente. La littérature ibérique me passionne de plus en plus et nos professeurs nous font découvrir des auteurs qui sont quasiment inconnus en France. Après la partie de jambes en l’air avec Luis le lendemain de l’anniversaire des jumeaux, nous n’avons pas reparlé de cet épisode. Nos relations restent sur le plan d’une franche camaraderie. De leur côté, Felipe et Francesco ne sont plus venus me relancer dans mon studio. Mais certaines allusions faites par Carmela à mon intention, je suis de plus en plus persuadée que ces coquins ont vendu la mèche… C’est vrai aussi qu’ils sont très complices avec leur grande sœur. Il n’empêche que je suis très intriguée d’avoir découvert dans la chambre de Luis cette glace sans tain qui donne dans la chambre des parents. S’il veut, il peut les espionner dans leur intimité. Pour en avoir le cœur net, j’en parle à Carmela qui est au courant mais elle me dit que ses parents savent et ...
... qu’un rideau opaque empêche la vision et elle m’entraine dans cette chambre. Je découvre un véritable écrin précieux où les miroirs alternent avec des tentures de velours le long des murs. Le lit à baldaquin est immense, il fait largement plus deux mètres… et les parties de mur qui restent à découvert sont décorées de peintures licencieuses où je retrouve la patte de Monica. Serait-elle libertine ? Ensuite Carmela m’entraine dans sa chambre que je n’ai jamais vue jusqu’à présent. Là, je suis surprise. Alors que je la croyais ordonnée, cette chambre ressemble à un fouillis, il y a des fringues partout, sur les chaises, roulées en boule sur le sol. Dans le lit défait, j’aperçois un beau gode en silicone translucide que Carmela prend aussitôt, non pour le ranger, mais pour le caresser doucement dans sa main comme pour mimer une masturbation masculine. Au bout de quelques instants elle s’approche de moi et m’enlace doucement mais fermement en cherchant mes lèvres que je ne lui refuse pas. Sa langue fouille aussitôt ma bouche et nous échangeons une série de baiser torrides qui ont vite fait de me faire mouiller le fond de mon string. Carmela remonte l’arrière de ma jupe et palpe mes fesses nues pour se saisir du cordon du string. Elle le fait bouger ce qui a le don de m’exciter encore davantage. Je ne suis pas contre une joute lesbienne, je suis bisexuelle vous le savez déjà, alors, je vais profiter du beau corps de Carmela. Plus grande que moi, elle a de belles rondeurs : une ...