1. Fille au pair (chapitre 4 / 6)


    Datte: 21/10/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... occupations habituelles. Ernesto part chaque matin d’assez bonne heure à l’usine où il travaille comme chercheur, les jumeaux partent pour le lycée vers 7 h 45 et selon mes horaires, je me rends à l’université en bus ou avec Carmela dans sa voiture. Je croise peu Luis que je ne rencontre qu’au repas du soir. De son côté Monica partage son temps entre la maison, son atelier et des sorties les après-midi. En revenant de l’université le jeudi en fin d’après midi, je trouve posé sur le palier un colis assez volumineux mais relativement léger. Il est accompagné d’une enveloppe à mon nom, glissée sous le ruban qui noue le paquet. J’ouvre aussitôt l’enveloppe écrite de la main de Monica : - Sois prête avec ces vêtements samedi à 11 heures. Je viendrai te chercher. Je déballe immédiatement le colis. Je découvre en premier un ensemble soutien gorge et string en cuir souple, des escarpins avec des talons démesurés (au moins dix centimètres), une cape en velours et un loup rigide en satin noir qui épouse la forme du nez et le haut du front. Deux orifices permettent de voir. Ensuite, dans une boite plus petite, je découvre des menottes gainées de tissu et une longue laisse de cuir et un collier orné de strass. Dans une autre boite, je trouve deux plugs de taille différentes en silicone de couleur chair et un autre en métal argenté dont l’extrémité est pourvue d’un ensemble de pierres colorées. Je suis tellement surprise que j’hésite quelques temps avant d’essayer les sous vêtements et ...
    ... les chaussures, mais je ne peux bientôt plus résister. J’ôte mes habits de ville et j’enfile le soutif : il me va parfaitement, remontant les globes de mes seins comme pour les présenter. Le string moule bien le devant de mon sexe et les cordons en cuir partent vers l’arrière où ils se rejoignent en une torsade qui passe dans mon entrejambe. Les escarpins sont également à mon pied mais, je suis peu habituée à une telle hauteur de talon si bien que je suis obligée de marcher dans ma chambre pendant quelques temps. Lorsque je passe devant le grand miroir, je vois mes fesses cambrées comme elles ne l’ont jamais été. La journée du vendredi passe dans la fébrilité. Je me demande pourquoi Monica a acheté ces objets… Je ne suis pas naïve, les menottes et la laisse me font présager un rôle de soumise, d’esclave sexuelle certainement. Je passe une bonne partie du samedi à me pomponner. Après une longue douche tiède, je taille ma toison très courte puis je le mets en forme en ne laissant qu’une touffe de poils drus large de deux doigts. Les ongles des mains et des pieds sont peint d’un rouge vif et en dernier, je maquille discrètement mon visage. Seules mes lèvres sont outrageusement rouges. Lorsque Monica vient me chercher, je remarque aussitôt qu’elle porte une cape presque identique à la mienne mais ses vêtements sont cachés. Nous montons aussitôt dans la voiture conduite par Ernesto, les deux femmes installées à l’arrière. Nous sortons rapidement de la ville. Monica se tourne vers ...