1. DCT, l'agence qui met en scène vos fantasmes (6)


    Datte: 12/12/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... celle de l’actrice. Parmi elles, Josiane Ricoeur, née en 1957, plie comme l’actrice tenait à son avis la corde. Elle était sans emploi et faisait partie des femmes qui avaient répondu à l’annonce, concernant un rôle de figurant, que DCT avait fait passer à Pôle Emploi. L’acheteur ne fut pas emballé, ni par Josiane, ni par les quatre autres profils que Clarisse lui avait transmis. Certes il trouvait que Josiane ressemblait assez à Racquel Ebouto mais certains détails clochaient. Elle n’avait pas le même nez et les mêmes lèvres que la comédienne, son visage de même que son corps étaient aussi plus empâtés. On en était là. Les recherches ultérieures que menèrent Clarisse et son équipe ne donnèrent rien de plus probant. L’histoire allait tomber à l’eau quand Clarisse eût une idée. L’acheteur, qui se réservait les droits exclusifs de l’oeuvre comme c’était toujours le cas d’ailleurs, avait proposé une somme considérable pour ce film. Clarisse prit sa calculette, passa plusieurs coups de fil et finit par trouver une solution, sur le plan financier du moins. En réduisant drastiquement l’enveloppe que DCT devait initialement toucher, ça devait passer. Clarisse s’y résolut. Maintenant restait à amener Josiane à son idée, ce qui n’était pas forcément gagné. La productrice convoqua la femme et lui mit le marché entre les mains, en précisant également la nature exacte du rôle que cette dernière devrait jouer ensuite. Auparavant il y avait un préalable important. Il fallait tout ...
    ... simplement que Josiane accepte de se plier à un stage de remise en forme pour retrouver l’allure élégante de l’artiste, mais surtout qu’elle subisse un acte de chirurgie esthétique qui lui donnerait définitivement les traits et la physionomie générale de la comédienne. Clarisse argumenta beaucoup sur ce nouvel atout qui allait mettre son interlocutrice en valeur. Mais ce fut l’aspect financier qui emporta la décision. Josiane avait encore un garçon de vingt ans à la maison et l’importance du cachet proposé lui offrait la possibilité de repousser ses affres financiers à bien plus tard. Une fois le contrat signé, rendez-vous fut pris dans une clinique spécialisée pour le mois suivant. Le chirurgien proposa également moyennant un léger supplément de remonter les seins de Josiane et d’augmenter légèrement sa poitrine afin de faire correspondre exactement sa plastique à celle de l’artiste. DCT donna son accord après quelques négociations. Tandis que Josiane subissait son intervention et allait ensuite perdre la dizaine de kilos qui la séparait de la comédienne, dans un centre spécialisé de Vittel, la production se mettait en quête de l’élément le plus important du tournage: L sous marin. On finit par dégotter «l’Espadon». Mis en service en 1960, par la marine française ce submersible passait une retraite paisible dans une des alvéoles en béton que les nazis avaient fait construire dans le port de Saint Nazaire pour protéger leurs submersibles. On pouvait visiter ce navire grâce aux bons ...
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