Gène du vice ? (3)
Datte: 12/12/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... que sa patronne cherchait peut-être quelqu’un pour vendre ses produits auprès d’une clientèle de restaurateurs ou d’hôteliers. Elle me conduisit auprès de cette dernière pour me présenter. Malheureusement, elle venait de trouver quelqu’un qui prendrait son poste dans quelques jours. Une nouvelle fois, ma quête d’emploi achoppait. Un peu déçue, je sortis avec Virginie. Sur le trottoir en face du salon de thé, un grand garçon attendait. Il nous adressa un sourire et s’approcha. Virginie, alla à sa rencontre et ils s’embrassèrent longuement, d’un baiser passionné. Elle fit ensuite les présentations : -« Vincent, voici Hoa, la petite amie de mon frère. Hoa, voici Vincent, mon amoureux. » Il me fit la bise. Vincent était un beau garçon auquel j’aurai donné 25 ans. Grand, plutôt mince, à la peau noire foncée. L’espace d’un instant que je me serais bien vu en sa compagnie pour une séance de plaisir… Je n’avais jamais couché avec un noir et la vue de ce bel homme, l’amoureux de Virginie avec laquelle j’avais baisé récemment, m’émoustilla. Virginie reprit la parole et me sortit de mes pensées. -« Vincent doit reprendre le boulot, il était juste passé me faire un coucou. Je rentre chez moi, si ça te dit tu peux venir, mais je ne sais pas si Adrien sera là. » Intriguée par ces derniers mots, je décidais d’accompagner Virginie. Quelques minutes plus tard, nous garions nos scooters près du garage de ses parents, qui donnait sur le jardin. Pendant que nous nous dirigions vers la maison, ...
... Virginie me prit la main et m’attira près d’elle. Je sentais le doux parfum de ses cheveux. Sa main libre caressa mon bras et elle approcha ses lèvres des miennes. Nos langues se cherchèrent et jouèrent ensemble longuement dans nos bouches. Ce baiser m’excitait, je sentais mon sexe s’humidifier et mes tétons durcirent et pointer fièrement directement sous ma fine robe d’été puisque je ne portai pas de soutien-gorge. Ma compagne parcourait mon corps de ses mains douces, je lui rendrais ses caresses, sentant son excitation monter également. Ses baisers quittèrent ma bouche pour venir titiller mon cou. Ses mains empoignèrent mes seins nus sous ma robe, jouant avec mes tétons. Un instant je me demandais si elle allait me déshabiller là, dans le jardin sous les fenêtres de ses voisins. Bien que cela me paraissait complètement fou, je suis sûre que je n’aurais pas protesté, elle aurait pu me baiser devant tout le quartier, que je l’aurais laissé faire ! D’ailleurs, j’acceptais sans rechigner qu’elle glisse une main sous ma robe, saisisse ma culotte et la fasse glisser jusqu’à mes genoux. A ce moment-là elle arrêta un instant ses attouchements et me dit d’une voie langoureuse : -« On devrait peut-être entrer dans la maison, on serait plus tranquille. » J’acquiesçai et la suivis vers la porte-fenêtre donnant accès à la salle à manger. J’étais tellement excitée à l’idée de coucher avec cette jolie fille, qui en plus se trouvait être la sœur de mon copain, que je ne prenais pas la peine ...