Gène du vice ? (3)
Datte: 12/12/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... de réajuster ma tenue, ni même de remonter ma culotte. Lorsque nous pénétrâmes dans la maison, nous fûmes accueillies par de grands soupirs et des cris de femme dont l’origine ne laissait planer aucun doute : un couple était en pleine action ! Déjà surprise par ces bruits, je le fus encore bien davantage lorsque je vis Adrien debout, face à nous devant la table de la salle à manger, nu, en train de baiser sa mère allongée, qui clamait son plaisir. Encore plus fort, sous elle un autre homme était également allongé sur le dos et semblait lui aussi besogner Agnès ! La mère et le fils regardèrent Virginie et moi débraillées et excitées par nos préliminaires, surprises de les voir en pleine fornication. Ils cessèrent un instant, ce qui fit tendre le cou à l’homme couché sous Agnès. Il était brun, peut-être la quarantaine de ce que je pus en juger dans l’étrange position où nous nous trouvions. Je mis quelques instants à comprendre qu’il s’agissait du père d’Adrien et de Virginie, le mari d’Agnès. Cette salope était en train de baiser avec son mari et son fils en même temps ! Déjà excitée par mon désir pour Virginie, ma chatte coula à grands flots lorsque je compris l’incroyable perversité de la situation. Agnès se faisait baiser la chatte par son fils de 20 ans et en même temps enculer par son mari, tandis que sa fille de 18 ans se gouinait avec la copine de son fils, moi ! Quelle folie ! Même si j’avais conscience de la perversité de ce moment, je ne songeais pas un instant à ...
... quitter les lieux. Je regardai Virginie avec une pointe d’inquiétude, craignant qu’elle ne se fâche contre ses parents ou son frère, mais elle n’en fit rien. Bien au contraire, elle nous jeta à tous un regard de braise, démontrant combien cette scène totalement folle l’excitait. Son père et son frère reprirent leur labeur dans les trous d’Agnès qui gémit à nouveau de plaisir. Le père, nous regarda et lança : -« Alors les filles, c’est dans cette tenue qu’on rentre à la maison ! Vous devriez nous rejoindre, Adrien et moi on va s’occuper de vous comme vous le méritez, petites salopes ! » Comment un père pouvait parler de la sorte à sa fille ? Ma question trouva rapidement sa réponse, puisque Virginie, qui me tenais toujours la main, approcha du groupe et caressa les seins maternels, en pinçant les tétons gonflés d’excitation. Sa fille était bel et bien une salope, qui baisait avec son frère, sa copine, sa mère et sans doute son papa ! Quant à moi, je ne méritais pas mieux, tant la situation me faisait mouiller, j’étais prête à plonger encore plus profondément dans le vice ! Je n’avais encore jamais assisté à une scène de double pénétration, mais je compris vite le principe et l’idée de se faire enfiler simultanément par le vagin et l’anus éveilla en moi une excitation démesurée ! Virginie délaissa assez vite les nichons de sa mère, qui criait son plaisir sous les coups de boutoirs conjugués de son mari et de son fils, pour m’attirer vers le canapé situé à proximité de la table de ...