La croisière (5)
Datte: 13/12/2020,
Catégories:
Hétéro
... accroche ses bras autour du cou de son amant. Et Marc la pénètre. Elle est très serrée. Il doit forcer le ventre malgré le sexe trempé de la jeune fille. Il commence alors à la prendre. Le visage de l’adolescente est rayonnant. Il la pilonne, se retenant de moins en moins, guidé par les cris de plus en plus aigus de Raphaëlle qui se libère enfin, arquée, jouissant avec de longs cris de plaisir, puis elle éclate en larmes, attire le visage de Marc pour le couvrir de baisers, souriante, abandonnée, dépassée par cette jouissance qu’elle n’a jamais connue avec une telle intensité. Marc laisse la jeune fille reprendre ses esprits. Il n’a pas joui, préoccupé d’abord du plaisir de Raphaëlle. Il sort de son ventre, caresse sa queue dure trempée par la jouissance de la jeune fille. Raphaëlle regarde Marc. Elle le trouve beau. — Bon, à toi maintenant ; tu le mérites. — Je n’ai pas joui, tu sais, mais c’était un merveilleux moment. — Mouais, genre tu n’as pas envie de jouir ? — Hum, si… — Tu veux comment ? Marc la regarde, maintenant ouverte, offerte, et sans réticence. — J’adorerais pouvoir te prendre en levrette. Raphaëlle lui offre un magnifique sourire et se tourne à quatre pattes. Elle a son visage près de sa maman. Les deux femmes se sourient, et Raphaëlle appuie sa joue contre les bras de sa maman. Marc admire cette croupe magnifique, ces hanches parfaites. Il se branle avant de s’approcher et de frotter son gland contre la vulve de la jeune fille, puis donne un coup de reins ...
... pour enfoncer sa pine dans son ventre chaud. Il continue en la prenant doucement ; Raphaëlle creuse ses reins pour mieux s’offrir. Comme Raphaëlle est pressée contre sa maman, Isabelle sent les coups de queue donnés par Marc. Elle a glissé sa main entre ses cuisses et se caresse. C’est elle qui libère Marc : — Tu peux y aller, Marc ; ne te retiens pas, baise-la bien, profites-en. Jouis, mon amour, vas-y ! Tu vois comme elle s’offre à toi ? Alors Marc ne se retient plus, et il baise, accroché aux hanches de la jeune fille, jusqu’à se libérer au fond du ventre chaud. Il s’écroule sur elle, l’embrassant dans le cou. Isabelle caresse les cheveux de sa fille. — Merci, maman. — De quoi ? — De tout cela : de m’avoir permis de faire l’amour avec Marc, de m’avoir aidée à prendre ce plaisir, pour ces vacances si particulières. Raphaëlle donne un baiser sur le sein de sa maman. Les deux femmes se regardent en souriant. Marc s’est assoupi, un bras autour de la taille de Raphaëlle qui, couchée sur le ventre, sent couler le sperme de son amant entre ses cuisses. Elle est à moitié couchée sur sa maman. — Je ne suis pas trop lourde, maman ? — Non, ma chérie, j’aime t’avoir contre moi. Tu as bien joui. — Oui, oh oui, maman ! Je ne sais pas comment te dire ; ça venait de si loin en moi… — Tu es magnifique quand tu jouis. Sa fille rit, puis redonne un baiser sur le sein nu de sa mère, puis un autre pubis doux, plus tendre, puis un troisième. Elle hésite, puis pose son visage contre sa maman et ...