1. Oncle Robert (1)


    Datte: 21/10/2017, Catégories: Gay

    ... et m’attarde sur sa collection de voitures miniatures. -Tu as toujours celles que je t’ai offerte pour tes anniversaires ? -Évidemment Popi ! Je les ai mises sur mon étagère dans ma chambre. -Tant mieux, ça te permet de penser un peu à moi de temps en temps, dit-il en posant une main chaleureuse sur mon épaule. -Bien sûr que je pense à toi ! Plus souvent que tu ne l’imagines ! -C’est bien mon bonhomme, je te taquine. Il enlève sa main en la laissant tomber le long de mon dos. Il fait souvent ça. Ainsi que quelques caresses au niveau des fesses mais pour moi, c’est plutôt un geste d’affection. On passe par la véranda et on s’installe autour de la petite table de la terrasse. -Alors, prêt à transpirer un peu avec tonton Robert ? -Oui, Maman m’a dit que tu avais besoin d’aide pour l’entretien de la maison ? -C’est exact, et il y a du boulot ! On s’y met directement ? -D’accord, je commence par quoi ? -Commence par tondre la pelouse. Si on ne fait rien, on va bientôt avoir l’herbe qui nous caresse les roubignoles ! S’esclaffe-t-il. Oui, mon oncle était très porté sur les blagues un peu populaires mais ça faisait son charme. Et c’est pourquoi on rigola tous les deux après sa remarque. On se lève et je vais chercher la tondeuse à gazon dans le fond du jardin, à côté de la petite cabane en bois. Je la pousse jusqu’à la terrasse et la fait démarrer. Elle émet un bruit sourd et se met à vrombir. Je vois tonton commencer à décaper les vieilles fenêtres en bois et c’est vrai qu’elles ...
    ... en ont bien besoin. Je continue de marcher derrière la machine qui tond toute seule la pelouse. Heureusement qu’il n’a pas plu ces derniers jours. Plus de deux heures passent avant que tout le gazon soit coupé. Que c’était long ! J’avais le soleil dans le dos et j’avais tellement chaud que j’ai dû enlever mon t-shirt et passer un short plus court. J’avais transpiré à grosses gouttes mais j’avais réussi à tout tondre. Je coupe le moteur et j’entends tout juste Robert qui m’appelle. Je range rapidement le matériel au fond du jardin et me dirige vers mon oncle. -Dis, tu pourrais enlever les escargots coincés au dessus de la fenêtre ? Je ne peux pas le faire. -Tu as toujours peur de ces pauvres bêtes ? -Je déteste ces fichus gastronomes. -Gastéropodes, tonton. Ce sont des gastéropodes. -C’est pareil. Je rigole et vais chercher l’échelle dans le cabanon. Je reviens et l’installe contre le mur. Popi me dit de faire attention et je le rassure en disant que je n’ai pas le vertige et que je ne suis qu’à un mètre du sol. Je monte les premiers échelons et je sens ses mains se poser sur mes fesses. Je suis assez surpris mais si ça peut le rassurer, tant mieux. Et puis, c’est pas si désagréable que ça. Je monte encore un peu et ses mains glissent juste en dessous de mes fesses entre mes cuisses. J’ai une petite chaleur qui se forme dans mon bas-ventre, quelle étrange sensation. Je me ressaisis et enlève les coquilles des escargots, toutes vides, évidemment. Je le regarde pour lui dire que ...
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