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Oncle Robert (1)
Datte: 21/10/2017, Catégories: Gay
... chaise. Je remarque que l’alcool délie bien les langues. Mais je ne vais pas trop poser de questions, pour ne pas le gêner. C’est quand même fou. Jamais je n’aurais cru que mon oncle était bissexuel ou peut-être juste gay en fait. Mais il fait ce qu’il veut après tout, c’est un adulte. Je le vois terminer son verre et j’aspire la dernière goutte du mien. -Bon ! On se remet à bosser ? -D’accord. Je fais quoi ? -Tu peux tailler la haie, ça ne devrait pas être trop difficile. -Ok, je m’y mets tout de suite ! Robert met sa main sur ma cuisse, un peu trop haut pour que ce soit anodin mais je ne dis rien car une nouvelle fois, j’ai une chaleur qui naît dans le bas du ventre. Je pense qu’il le remarque mais il ne me le fait pas savoir. Il s’appuie donc sur ma cuisse et se lève. Il me dit qu’il va continuer avec les fenêtres et m’indique que le sécateur est dans la remise. Je me lève et marche vers le cabanon. En même temps, j’essaye de calmer la flamme que j’ai dans le ventre. Vraiment bizarre. Est-ce dû au contact entre ma cuisse et la main de mon oncle ? Je ne sais pas... J’arrive dans la remise et prends le sécateur. J’ai mis cinq bonnes minutes à le trouver. C’est que cette maisonnette n’a pas été nettoyée depuis un moment ! Il y a plein de toiles d’araignées et leurs propriétaires ne doivent pas être très loin. À cette pensée, j’ai un frisson et je sors rapidement de cette endroit poussiéreux. Je suis toujours torse nu et c’est comme ça que je commence à tailler la haie. Il ...
... n’y a pas beaucoup d’entretien à effectuer mais je m’applique tout de même. J’enlève chaque petite branche qui dépasse et j’arrive rapidement à la haie de l’autre côté du jardin. Je remarque en traversant le jardin que Robert a lui-aussi enlevé son t-shirt. Comme je l’imaginais, il avait un torse bien fourni au niveau des poils, que je lui enviais d’ailleurs, et un ventre tout aussi poilu que le reste. Certains poils du torse viraient au gris, comme ses cheveux. Ça me donnait envie de fourrer mes doigts dans ce doux pelage. Mais qu’est-ce que je racontais ? C’était mon oncle ! Je secoue la tête pour enlever ces images et reprends mon travail. Après plus de trois heures passées sur cette fichue haie, j’avais enfin terminé. Autant la première avait été facile, autant l’autre avait été un véritable calvaire. Je m’étais acharné sur cette pauvre haie. Il y avait des mauvais buissons qui poussaient parmi les branches et j’avais dû toutes les couper. En plus, mon sécateur s’était bloqué et j’avais dû en prendre un autre plus petit et rouillé. Mais bon, c’était fait et je pouvais aller me doucher. J’avais suer comme un bœuf et l’odeur était assez désagréable. Je me frotte le visage et passe devant tonton sans lui dire que je vais me doucher. Pas besoin de le lui dire, je sais très bien où se trouve la douche. Je prends ma valise au passage qui est restée au pied de l’escalier. Je monte jusqu’à l’étage et ouvre la porte de la chambre d’ami, là où je vais sûrement dormir. Je dépose ma ...