La vengeance est un plat qui se mange à plusieurs
Datte: 14/12/2020,
Catégories:
fhh,
extracon,
inconnu,
Collègues / Travail
boitenuit,
humilié(e),
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
init,
journal,
ecriv_f,
... impression que mon plaisir coule sur les doigts qui me fouillent. Pas à pas je recule vers les tables, poussée par Richard. Un fugitif instant, mon désir laisse la place à un éclair de raison… Il va me posséder sans préservatif, je ne veux pas, ce n’est pas possible… Bien évidemment, je n’ai pas cela sous la main mais c’est dire à quel point mon désir est violent. La table est contre mes fesses, Richard m’asseoit d’un geste souple et, me caressant d’une main, se dégrafe, sort son sexe tendu et dur que je sentais vibrer contre mon ventre quelques instants plus tôt. Je le prends dans ma main, il me donne un sentiment de puissance. Je le serre et le masturbe lentement, alors que ma peau vibre sous les caresses de Richard. Je tourne la tête vers Gérard, j’en étais à l’avoir oublié et j’oubliais que c’était par vengeance que j’en étais là… Il est livide, ses narines pincées, sa tête fait un "Non" sans conviction, les yeux brillants de larmes. Une joie malsaine m’étouffe, mais je ne guide pas ce sexe tendu vers moi dans ma grotte, la raison ténue est toujours là et je ne veux pas être malade. Richard retire doucement ma main, je n’ai pas envie de refuser mais une boule d’angoisse me serre le ventre. Il ouvre un petit sachet avec les dents et enfile un préservatif dont le sommet reste froissé au-dessus de sa grosse verge, comme un petit chapeau ridicule. Je n’en ai jamais vu mais ma curiosité est de courte durée car l’ensemble touche la fente, la caresse de haut en bas avant de ...
... s’engouffrer sans effort dans mon sexe trempé et ouvert. Il s’enfonce loin, très loin, mes organes bougent à l’intérieur de moi, le plaisir est vif, je ne pense ni à l’endroit où je suis, ni aux autres personnes. Je dois contracter mes abdominaux pour ne pas jouir immédiatement et prolonger le plaisir. Un plaisir immense, fort, vif, à fleur de peau. Derrière le bar, le serveur a abandonné son travail et regarde la scène avec intérêt. Je réalise alors que Richard tient mes hanches à deux mains et qu’une troisième main me caresse le dos doucement. Je suis dans un flou artistique, mon corps ne m’appartient plus, il est comme un bateau ivre, je sens un sexe inconnu me pénétrer comme un viol consenti, je ne maîtrise rien et je n’en ai pas envie, le plaisir que je ressens est trop fort et mon seul réflexe est de le faire durer comme si c’était la dernière jouissance… Jean-Claude devient plus entreprenant, ses deux mains sont sur mon corps, l’une caresse mes seins, l’autre mes fesses, passant régulièrement entre la table et ma peau, me soulevant et se glissant vers mon petit œillet, alors que mon ventre gonfle sous l’assaut de Richard qui me pénètre avec vigueur de plus en plus vite. Quand il se met à respirer fort, malgré le préservatif, je sens sa jouissance jaillir dans mon ventre et mon plaisir contenu explose en un feu d’artifice. J’ai dû crier mais je n’en ai pas conscience. Jamais je n’ai joui comme cela. Toute mon énergie est partie en un instant. J’appuie ma tête sur l’épaule ...