1. La vengeance est un plat qui se mange à plusieurs


    Datte: 14/12/2020, Catégories: fhh, extracon, inconnu, Collègues / Travail boitenuit, humilié(e), vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, init, journal, ecriv_f,

    ... direct sur l’écran, comme si l’infâmie était en train de se produire, mais sans que je puisse arrêter l’horreur. Trente ans que nous sommes mariés, il m’a épousée vierge et je n’ai jamais pensé à un autre homme que lui. Je pensais qu’il était le meilleur des hommes, qu’il m’aimait, que je finirais ma vie avec lui, que notre vie était parfaite. Peu de disputes, des revenus très confortables, une grande et belle maison équipée de tout le confort moderne et d’une piscine, avec un grand terrain bordé d’un lac et entourée de verdure. Bien sûr, nous avons connu quelques périodes de tensions mais vite résolues et, à part ses voyages professionnels qui l’éloignent de moi régulièrement, un homme parfait, qui rentre à la maison après son travail sans aller au bistro, pas de défaut, il ne boit pas, fume très peu, est souvent joyeux préfère être avec moi plutôt que de sortir, m’emmène danser lorsque j’en ai envie, m’offre des vacances régulièrement, n’est pas possessif ni jaloux sans pour autant me négliger. Et c’est cet homme que je voyais lécher le sexe de cette inconnue et finir par la pénétrer et la faire jouir, à entendre ses cris. Le film se termina sur un gros plan de la vulve dégoulinante de sperme avant que les parasites n’envahissent à nouveau l’écran. J’étais anéantie, comme assommée. Avant que je rassemble mes idées, l’écran s’éclaircit et une autre scène s’offre à moi, une femme de dos, vêtue d’une robe courte et de souliers à talon très fins et très hauts, se dandine sur ...
    ... un air de salsa au milieu d’une clairière ou en bord de forêt. Au fil du rythme qui s’accélère, elle se tortille de plus en plus, relevant sa robe qui dévoile le haut de ses bas puis ses fesses pleines et rondes et montrant, sans doute possible, qu’elle ne porte pas de culotte. Soudain le choc : elle se retourne et, sous le casque de cheveux blonds frisés, mon amie, ma copine d’enfance Catherine, avec qui j’ai partagé tant de secrets, dont j’étais la confidente et qui était la mienne. J’ai envie de hurler, d’arrêter tout cela, de jeter ces cassettes et d’oublier ce que je viens de voir, mais ce n’est pas possible et je subis l’impensable : ma meilleure amie, qui me conseillait de garder ma réserve et de refuser les quelques fantasmes de Gérard qui me gênaient. Je m’étais ouverte à elle lorsque Gérard m’avait demandé de pimenter nos relations en sortant avec une robe sexy sans sous-vêtements, ou de faire l’amour dans les bois, ou de faire des photos érotiques hors de la maison. Je lui avais dit que je ne me sentais pas le courage et que je me sentirais mal à l’aise, même si, au fond de moi, un trouble m’envahissait. La peur des conséquences si quelqu’un nous voyait ou si la police nous surprenait avaient eu raison du trouble, et les conseils de Catherine avaient fini de me convaincre que seuls les détraqués sexuels et les obsédés faisaient ce genre de choses. En fait de détraquée sexuelle, elle se posait là… Plus le film se déroulait, plus ses poses étaient obscènes, toujours ...
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