La vengeance est un plat qui se mange à plusieurs
Datte: 14/12/2020,
Catégories:
fhh,
extracon,
inconnu,
Collègues / Travail
boitenuit,
humilié(e),
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
init,
journal,
ecriv_f,
... sur des rythmes brésiliens venant d’un gros poste radio comme en ont les rappeurs. Au fil des images, je repérai l’endroit, pas très loin de chez nous, en bord de forêt, un peu en contrebas de la route nationale et d’un petit chemin. Nous étions allés plusieurs fois cueillir des mûres dans les broussailles. À plusieurs reprises, un bruit de klaxon de camion résonnait. J’en déduisis que les routiers devaient se rincer l’œil, ce qui n’avait pas l’air de gêner Catherine, qui s’exhibait de plus en plus, ses gros seins sortis de la robe, son sexe épilé bien visible et, lorsqu’elle se retournait, ses fesses nues qui remuaient comme celles des filles du carnaval. Soudain la robe vola, elle était nue, avec uniquement ses bas, à moins de cent mètres de la nationale et continuait à se trémousser devant la caméra en incitant Gérard à venir la prendre comme une chienne et à la « sauter », à « l’enculer », qu’elle « mouillait » pour lui, qu’elle n’en pouvait plus d’attendre et, effectivement, pour la deuxième fois, je vis apparaître Gérard dans le champ de la caméra, pantalon ouvert et sexe sorti. Elle se jeta à genoux pour avaler le sexe de mon mari et, après ce qui me parut une éternité, elle le lâcha pour se retourner et s’offrir, penchée en avant. Il n’hésita pas un instant à s’enfoncer en elle, de côté par rapport à la caméra. Ils regardaient de temps à autre vers l’écran, comme s’ils voulaient s’assurer que le cadrage était bon. Gérard sortit complètement son sexe de celui de sa ...
... partenaire et, la tournant un peu, il positionna sa verge sur l’œillet froncé de Catherine, comme s’il allait la sodomiser. Dans le coton qui avait rempli ma tête, j’entendis la voix de ma copine crier « Encule-moi, je veux te sentir fort… Vas-y défonce-moi… » Et le sexe de Gérard entra dans l’anus de Catherine, lentement mais sans hésitation, comme si c’était naturel et jusqu’à ce que le ventre de Gérard touche les fesses de Catherine, puis le va-et-vient s’accéléra et j’entendais, par-dessus la musique, comme un bruit de gifles à chaque pénétration. Le visage de Catherine était en extase et, les yeux fermés, elle se laissait ballotter par les profondes pénétrations de Gérard. Incroyable vision où l’horreur dépasse le pire des cauchemars, le film se poursuivit encore une dizaine de minutes, lorsque l’image d’un nouveau film apparut. Je stoppai la lecture, j’avais le visage baigné de larmes je ne m’étais même pas rendue compte que je pleurais. Je me levai pour prendre un mouchoir, j’avais la gorge serrée et un poids énorme sur la poitrine. J’avais envie de parler à quelqu’un, j’allais appeler Martine, une autre amie, mais mon geste fut stoppé : et si elle aussi ? Je me sentais seule, trahie, trompée, salie. Des phrases me martelaient l’esprit comme « Je t’aime mon amour, je n’aime que toi, tu es superbe, tu me plais, il n’y a que toi qui compte… » Phrases que Gérard me disait souvent. Ou « Les hommes ont tendance à vouloir avilir les femmes et lorsqu’ils ont eu ce qu’ils ...