Le fantôme de mon cœur
Datte: 15/12/2020,
Catégories:
f,
fh,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
attache,
fouetfesse,
délire,
merveilleu,
fantastiq,
amourpass,
... traînent sur Internet… Là, c’est moi qui suis soufflée. — Vous connaissez Internet ?— Indirectement, vous vous en doutez bien : je regarde au-dessus des épaules… Mais je connais quand même le principe des mots-codes. « Jaune » quand la soumise approche des limites, « rouge » quand elle veut tout arrêter.— Si vous êtes disposé à respecter ces règles, je suis tout à fait partante. Au fond de moi, je suis terrifiée… Mais ce n’est pas de lui que j’ai peur, mais de moi. Et si j’avais tout bonnement ouvert la boîte de Pandore ? Mais en même temps, j’en crève d’envie. Je ne sais pas pourquoi, mais j’en crève véritablement. — C’est votre idée, Jennifer, et je serais ravi de m’y plier.— D’accord. Mais pour cela, il faudra d’abord que vous m’attrapiez… Pas bien certaine que le jeu soit bien équitable… Pour cause, lui, il me voit ; mais moi, je ne fais que le deviner. Et encore, pas toujours. J’ai beau essayer d’éviter les courants d’air froids, je me retrouve bien vite allongée, le cul à l’air, sur ses genoux. Une fois de plus, il me maintient les mains dans le dos pendant que son autre main se balade sur mes globes fessiers. Mais que fabrique-t-il ? Ça y est, je comprends… Il est en train de m’attacher les mains avec ce qui fut, il y a peu de temps encore, mon soutif. Soudainement, il a une seconde main de libre, qui s’insinue bien vite dans l’ouverture de mon chemisier à la rencontre de mes seins que plus rien ne protège et qu’il caresse avec douceur et légèreté. Quant à mon ...
... cul, il ne me frappe pas ; non, tout au contraire, il l’effleure, et c’est d’autant plus délicieux que ses doigts viennent de descendre jusqu’à mon antre plus que jamais détrempé. — Une dévergondée, disais-je, et ce n’est rien de le dire. Je vais être obligé de sévir… Des garçons et des filles, j’en ai connus un paquet, parfois même à trois ou quatre en même temps… Mais ce n’est pas pour autant que j’ai laissé qui que ce soit lever la main sur moi ! Et ceux qui s’y sont un jour risqués s’en souviennent sans doute encore… Et voilà que là, le plus simplement du monde, je me retrouve en travers des genoux de Mac Hillian, ruisselante de désir, à deux doigts de l’implorer de me fesser s’il ne le fait pas tout de suite ! Je suis en train de devenir folle, ce n’est pas possible… Le premier coup s’abat sur ma fesse droite. — Aïe !— N’oubliez pas, Jennifer : jaune et rouge… Il ne me laisse pas le temps de répondre ; une seconde gifle vient de tomber, cette fois sur la fesse gauche. Ça y est, les coups pleuvent. Il ne tape jamais deux fois au même endroit, mais la douleur – très supportable, convenons-en – est toutefois bien réelle. De temps à autre, il s’arrête pour mieux me caresser, juste avant de reprendre le ballet de claques. Je n’en peux plus, j’ai mal, mon cul me cuit, mais en même temps mon ventre se tord à n’en plus finir et j’en suis à me demander si je ne vais pas finir par jouir tellement mon sexe se serre et se desserre à chaque nouvelle offense. Et comme si tout cela ne ...