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LA TABLE DE SAPIN 4
Datte: 15/12/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... sensations. Biens différents les unes des autres. La première c’était le bruit que faisait la pluie frappant les carreaux. La deuxième sensation était ma queue. Elle bandait. Oui… mais avec une impression de l’avoir passé dans une essoreuse. Et la troisième sensation c’était que j’allais de nouveau être confronté à la sulfureuse Patricia. Et c’était cette dernière qui me décida de quitter mon lit. Je sentais quelque chose me nouer dans mon ventre. Au moment où j’atteignais au volant de ma voiture, les premières maisons. La clé en main, je me suis avancé jusqu’à la porte d’entrée de chez mes beaux-parents. Je l’ai engagé dans la serrure. Après l’avoir tourné deux fois, la porte s’ouvrit. Toute seule. Sur Patricia. - Tiens ! Constata-t-elle ironiquement. Tu ne peux pas te passer de moi. Je la contemplais du haut en bas. Elle avait passé une combinaison de sa mère. Un truc extraordinaire. Sous lequel je la devinais nue. Mon regard effleura son ventre. Là où sous la soie couleur pêche, était presque transparente. Il me semblait bien apercevoir un triangle noir. J’ai pensé dans un premier temps qu’elle portait une culotte. Mais en faisant bien attention, je décelais que c‘était épais et bouclé. . Il aurait été facile pour moi de lui sauter dessus et de finir ce que j’avais commencé la veille. Mais était-ce d’actualité pour elle. Nul le savait. Elle s’effaça, me laissant entrer à l’intérieur. Elle referma la porte et se dirigea, sans un mot en direction de la chambre. Je ne sais ...
... pourquoi, je l’ai suivi. La pièce baignait dans une demi-pénombre dorée. Grâce aux rayons de soleil. Remplaçant la pluie. Elle prit position près de la fenêtre. Face à moi. Consciente de m’offrir en transparence des aperçus palpitants sur les contours de son anatomie. - Je n’ai pas besoin de te dire que j’ai assisté à ton… enfin avec ma sœur. Tu as aimé cela . M’interrogea-t-elle. Se décalant un peu. Je sus à cet instant qu’elle ne portait rien. - Il faudrait peut-être que tu t’habilles. Tu ne crois pas. Disais-je, d’une voix légèrement étranglée. Émue que j'étais, par le spectacle qui m'était offert. Elle pivota sur elle-même et se pencha pour ramasser ses frusques, rangée en tas à même le sol. Comme l’aurait fait un promontoire. - Oh ! J’ai le temps. Fit-elle, consciente de la perspective plongeante qu’elle m’offrait dans cette position. - Ah bon ! Murmurais-je. Lançant ses vêtements en boule sur les draps. Elle prit place sur le lit. Le creusa sous le poids de sa croupe. - Oui… d’ailleurs il est trop tard pour celui de 11H00. Fit-elle, avec un petit rire. Je me laissais tomber à son côté. - Et le prochain est à quelle heure ? Interrogeais-je. Elle se laissa aller en travers le lit. Posée sur un coude. - Je ne sais pas… et je m’en fous. Tu es pressé . Toi. Elle me regarda. - Non… Elle posa sa main sur la mienne, tout en douceur. - Dommage pour hier. Dit-elle. Un sourire salace aux lèvres. - Oui… - Enfin je parlais pour moi. Après un court silence, elle poursuivit. - Toi à ce ...